• 5.BARRE--139-

     

    L'AMOUR
    Celui qui aime est patient, il sait attendre ;
    son cœur est largement ouvert aux autres.
    Il est serviable, plein de bonté et de bienveillance ;
    il cherche à être constructif et se plaît à faire du bien aux autres.
    L'amour vrai n'est pas possessif, il ne cherche pas à accaparer,
    il est libre de toute envie, il ne connaît pas la jalousie.
    Lorsqu'on aime, on ne cherche pas à se faire valoir....
    Aimer, c'est aussi se conduire avec droiture et tact.

    L'amour prend des égards et évite de blesser

    et de scandaliser, il n'est pas dédaigneux.

    Celui qui aime ne saurait agir à la légère

    ou commettre des actes malhonnêtes.
    Aimer, c'est d'abord ne pas penser à soi,
    chercher son propre intérêts, insister sur ses droits.
    L'amour n'est pas irritable.....Il n'est pas susceptible.
    Quand on aime on ne médite pas le mal
    et on ne le soupçonne pas chez les autres.
    Si on subit des tords on n'en garde pas rancune.
    Découvrir une injustice, ou voir commettre le mal,
    ne fait pas plaisir à celui qui aime.
    Il se place du coté de la vérité et se réjouit lorsqu'elle triomphe.
    L'amour couvre tout : il souffre, endure et excuse.
    Il sait passer par dessus les fautes d'autrui.
    Aimer, c'est faire confiance à l'autre,
    et attendre le meilleur de lui,
    c'est espérer sans faiblir, sans jamais abandonner.
    C'est savoir tout porter, tout surmonter.
    L'amour n'aura pas de fin ......

    Synthèse des meilleures versions actuelles de la Bible  - 1 Corinthiens 13

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    La-rose-jaune

    Je me gavais de neuroleptiques et d'anti-psychotiques.

    Aujourd'hui Jésus m'a guéri !

     

    Voleur, toxicomane, alcoolique, suicidaire, j'ai connu des galères financières, des conduites sexuelles à risque. j'ai quitté ma femme, je suis revenu avec elle, car elle le voulait bien. J'ai couru des pèlerinages pour trouver la guérison. Je me suis gavé de neuroleptiques et d'anti-psychotiques, j'ai suivi deux psychanalyses et deux psychothérapies. J'étais devenu athée, anarchiste et anticlérical : un monstre d'égoïsme, asocial et révolté.

    Au fond du gouffre, je cherchais à m'en sortir. Je travaillais alors dans le secteur social comme éducateur spécialisé. Je récitais des prières pendant des heures chaque jour, en latin, en italien, en anglais : il me semblait qu'il en fallait beaucoup pour que ça fasse effet. Je suis allé 27 fois en pèlerinage en Italie ! Et un jour, mon neveu m'a dit qu'il lisait la Bible. Je suis allé le voir, il habitait à 900 km de chez moi. Il m'a conseillé de chercher moi-même les réponses aux questions que je me posais, puis il m'aidait en me montrant Jésus en train de guérir des malades. Il me faisait lire les admirables paroles de Jésus : "Que veux-tu que je fasse pour toi ? Veux-tu être guéri ?". J'avais 53 ans, Jésus me parlait, je fondais en larmes. Je pouvais lui parler, lui confier mes soucis, mes peines, lui remettre entre les mains mes fardeaux, mes erreurs, mes errements. Sans l'intermédiaire d'un prêtre ou d'un gourou. Alors je lui ai parlé. Il m'a tendu la main, je me sentais aimé, choyé, préféré, avec une grande valeur à ses yeux.

    Maintenant, j'ai 72 ans. Je suis en paix avec mon épouse.J'ai quitté psychiatres et psychothérapeutes qui m'ont cependant beaucoup aidé. Je ne prends plus de médicaments. Je lis et médite chaque jour sa Parole. J'ai demandé à Dieu de garnir mon cœur de son amour, de me donner la foi dans son salut gratuit, de me donner l'espérance de le voir un jour face à face. Il m'a répondu : "Comme le Père m'a aimé, moi aussi, je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour comme j'ai gardé les commandements de mon père et que je demeure dans son amour" (Jean 15 : 9,10). La paix et la joie inondent mon cœur, je rends service à mon entourage, je ne suis plus seul. Un jour, je Le verrai face à face, c'est ma consolation, je suis heureux.

    etoile-ciel-bleu

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    UNE ROSE M'A DIT :    
    Défripant au soleil sa robe de satin 
    Une rose m'a dit : "Je connais ton destin",
    Comme toi je suis née un beau matin d'automne
    Et dans le vent du soir, comme toi je frissonne….
    Je le sais notre vie approche de sa fin
    Alors imite-moi, exhale ton parfum
    Et sème autour de toi, sans repos, sans mesure
    La joie et le bonheur pour chaque créature !
    Tu sais petite sœur, de quoi je veux parler ?
    Il est tant d'affligés que tu dois consoler !
    Alors il faut AIMER, en toute plénitude,
    Et réchauffer tous ceux que mord la solitude…
    Vois : ma corolle s'ouvre… On aperçoit mon cœur,
    tu sais bien que c'est lui toujours, le grand vainqueur,
    Tous tes frères humains ont besoin de ta flamme,
    Donne-leur, sans tarder, le meilleur de ton âme !
    L'existence est si brève… AIMONS intensément
    Sans jamais nous lasser, jusqu'au dernier moment;
    Non je ne pleure pas !… Ce n'est que la rosée…
    Rien n'est triste ici-bas quand l'âme est apaisée.
    J'ai regardé la fleur au charme languissant,
    Qui se fanait déjà dans le jour finissant…
    Un pétale tomba sur la terre glacée,
    Mais la rose me dit : "Ne sois pas angoissée !
    L'AMOUR, tu le sais bien, est toujours le plus fort,
    Souviens-toi du Seigneur : Il a vaincu la mort."
    O Dieu qui me conduit à travers toute chose,
    Fais que germe en mon cœur la leçon de la Rose !  

        Lucienne Gaudé  

     

     

     

     


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    LA JOIE

    D'ALFRED BOEGNER

    Que de bénédictions perdues pour avoir repoussé ou fuit la souffrance ! Dans chaque souffrance que Dieu nous envoie, il y a une bénédiction ou une occasion de chute, selon que nous l'acceptons avec amour, ou que nous la repoussons ou que nous la fuyons avec colère. Compte si tu le peux, toutes les souffrances contre lesquelles tu t'es révolté, toutes les croix que tu as rejeté loin de toi ; toutes les contrariétés qui, loin de t'apprendre la douceur et la patience, t'ont irrité et porté au murmure, compte-les, puis dis-toi : autant de grâces que j'ai rejetées, autant de bénédictions que j'ai foulées aux pieds, autant de joies que j'ai perdues, car toute croix apporte sa joie, et toute épreuve a son fruit béni. Un des reproches adressés par Dieu au méchant qui lui rend un culte charnel c'est de haïr la correction. A force de révolte on peut lasser Dieu, qui cesse alors d'éprouver, de corriger, d'émonder l'âme. Celle-ci retrouve le calme, mais quel calme ! Quelle paix ! Et que la fournaise allumée par Dieu valait mieux !"

    " J'estime que les souffrances du temps présent, ne sauraient être comparée à la gloire à venir qui sera réservée pour nous. " Romains : 8 :18
    Prises hors contexte, les souffrances du temps présents peuvent être effroyables. Je pense aux souffrances horribles des martyrs chrétiens. Je pense à ce que certains enfants de Dieu ont eu à endurer dans les camps de concentrations. Et que dire des souffrances épouvantables causées par la guerre ? Des douleurs cruelles de ceux qui sont mutilés ou qui deviennent paralysés à la suite d'un accident ? De la souffrance indescriptible qui ravagent le corps de ceux qui sont minés par le cancer ou d'autres maladies ?
    Et pourtant, il n'y a pas que la souffrance physique. Parfois il semble même que la douleur physique se supporte mieux que la torture mentale. N'est-ce pas ce que Salomon à voulu dire lorsqu'il a écrit :"L'esprit de l'homme le soutien dans la maladie ; mais l'esprit abattu, qui le relèvera ?" Proverbe 18 :14. Il y a la souffrance causée par l'infidélité dans le mariage ou par la mort d'un être cher, et la vive déception ressentie devant un rêve brisé. Il y a l'immense chagrin causé par le rejet ou la trahison d'un ami intime. Nous sommes maintes fois étonnés devant la capacité du corps humain à endurer les coups, les douleurs atroces et les épreuves de la vie.
    En elles-mêmes ces douleurs sont écrasantes. Mais quand on les considère à la lumière de la gloire à venir , elles ne sont que des coups d'épingle. Paul dit qu'elles "ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous.". Si les souffrances sont aussi grandes, combien plus grande doit être la gloire !
    Dans un autre passage, L'apôtre Paul se permet de dire, dans un langage agréablement imagé, "Que nos légères afflictions du moment présent produisent un poids éternel de gloire."  2 Corinthiens 4:17. Placées dans la balance, les afflictions ne pèsent qu'une plume tandis que la gloire est lourde à l'infini. Jugées d'après le calendrier,  les souffrances sont momentanées tandis que la gloire est éternelle.
    Lorsque nous verrons notre Sauveur au bout du voyage, les souffrances du moment présent deviendront insignifiantes.

    W. Mac Donald   

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    J'ai appris â être content de l'état où je me trouve.
     

    PHILIPPIENS 4:11

    Ces paroles nous montrent que l'homme n'est pas naturellement enclin à être satisfait. "Les mauvaises herbes
    poussent vite". La convoitise, le mécontentement et les murmures sont à l'homme ce que les épines sont à la terre. Inutile de semer des chardons et des ronces qui trouvent dans la terre un élément tellement propice qu'ils se développent facilement. De la même façon, il est inutile d'enseigner aux hommes à se plaindre; ils le font si bien de manière spontanée !


    Mais les choses précieuses de la terre doivent être cultivées. Voulons-nous du blé ? Il nous faut labourer et semer. Voulons-nous des fleurs ? Et le jardinier de cultiver son jardin. Eh bien le contentement est une fleur céleste qu'il nous faut cultiver pour en avoir. Il ne poussera pas en nous naturellement. S

    eule la nouvelle nature peut l'engendrer et alors avec quel soin et quelle vigilance il nous faut cultiver la grâce que Dieu a semée en nous.

    Paul dit:"J'ai appris à être content" ce qui indique que tel ne fut pas toujours le cas. Parvenir au mystère de cette grande vérité lui a valu des souffrances. Sans doute lui est-il arrivé de croire avoir appris et puis...  la chute! Et quand il a enfin pu dire la vérité "j'ai appris à être content en moi-même dans les circonstances où je me trouve", c'était un vieillard aux cheveux blancs, un pauvre prisonnier dans un cachot de Néron à Rome où il avait déjà un pied dans la tombe.

    Nous pourrions bien accepter d'endurer les infirmités de Paul et de partager son cachot si en quelque manière cela nous conduisait à sa stature. Ne nous laissons pas aller à l'idée que nous pouvons nous contenter d'acquérir des connaissances ou encore que nous pouvons apprendre sans discipline. Il ne s'agit pas d'une puissance qui peut s'exercer naturellement, mais d'une science à acquérir graduellement. Nous savons cela par expérience.

    Frère, fais taire ces murmures tellement naturels et applique toi à être un élève modèle à l'école du contentement.

    Ch. Spurgeon           

     

    fleur_hibiscus

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