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      L'inde Seigneur délivre ton peuple à cause de L'Amour de Jesus

     

    Le FIl ROUGE, email hebdomadaire de Portes Ouvertes France


    Inde : 18.12.2008

                 « Nous ne quitterons pas Jésus »

    Les réfugiés n’ont pas le choix : pour retourner dans leur village, ils doivent d’abord se convertir à l’hindouisme. Pourtant, beaucoup sont déterminés à ne pas céder aux menaces des extrémistes hindous, comme cette femme dont le mari a été battu à mort parce qu’il ne voulait pas renier le Seigneur. Elle-même a été violemment frappée. A présent veuve, elle ne renonce toujours pas à sa foi.

    Autre exemple, celui de ces parents, dont l’enfant a été tué par des extrémistes hindous et qui déclarent :
    « Nous pouvons quitter le village, mais nous ne quitterons pas Jésus ». Ils continuent à regarder à Dieu quelles que soient les circonstances. Une autre femme, dont le mari, un pasteur, a été attrapé par les extrémistes hindous, puis par la police et enfin mis en prison, ne baisse pas les bras. Alors qu’elle était sans nouvelles de lui, elle a demandé à Dieu : « Pourquoi ? Nous t’avons servi depuis des années ! ». En priant, elle a réalisé que d’autres femmes de pasteurs vivaient la même situation. Elle a alors créé un groupe d’entraide.

    Dans l’Etat d’Orissa, la violence contre les chrétiens a aujourd’hui diminué, mais l’approche de Noël annonce de nouvelles épreuves. Les extrémistes hindous ont prononcé un Bandh à l’échelle nationale pour le 25 décembre. Bandh, cela signifie que les écoles seront fermées et que la plupart des activités publiques et privées seront suspendues soit disant « pour préserver la paix ». Dans les faits, quiconque fêtera la naissance du Christ, risque de violentes représailles. Selon Tehmina Arora, de l’Association juridique chrétienne, « à moins que les autorités ne prennent des mesures rigoureuses et concrètes, la communauté chrétienne sera de nouveau attaquée ». Pour l’instant, le gouvernement d’Orissa et celui de l’Etat fédéral indien ont mollement réagi…

    Remercions Dieu pour ces témoignages de foi.
    Opposons-nous dans la prière aux projets de violence des extrémistes hindous.
    Prions pour les dizaines de milliers de chrétiens qui ne peuvent pas rentrer chez eux à moins qu’ils ne se convertissent à l’hindouisme.
    Prions particulièrement pour les enfants des réfugiés qui ne peuvent pas aller à l’école.

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    Camp de réfugiés<o:p></o:p>

    « Vous n’imaginez pas combien vos prières comptent ».
    Comme le pasteur Rajendra qui a reçu des menaces de mort en raison du travail d’évangélisation effectué par son église, les chrétiens en Inde se sentent soutenus par nos prières, ce qui leur permet de tenir ferme face à la persécution des extrémistes hindous.

    Persévérons dans la prière, alors qu’un autre extrémiste hindou a été assassiné dans l’Etat d’Orissa, le 5 novembre, par les maoïstes. Ce meurtre pourrait entraîner un nouveau pic de violence contre les chrétiens.

    Depuis août dernier, au moins 4 500 maisons et églises ont été détruites. Combien de morts ? Les chiffres officiels indiquent 31, mais d’autres sources affirment qu’il y aurait eu au moins 500 morts, en majorité des chrétiens.
    En ce moment même, 12 500 victimes de violence se trouvent dans les sept camps de secours du district de Khandamal. Elles refusent de rentrer chez elles, craignant les menaces. Les extrémistes ont en effet prévenu que seuls ceux qui se convertissent à l’hindouisme pourront retourner chez eux.

    Selon John Dayal, un responsable chrétien, « des dizaines de milliers de réfugiés se cachent encore dans la forêt. Beaucoup sont blessés ». Pour lui, les réfugiés y sont encore pourchassés pour être mis à mort, sous le regard de policiers passifs.
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    • Supplions Dieu pour que cette violence cesse.

    • Prions que des membres de notre équipe puissent avoir accès aux camps du district de Khandamal

     

    Inde : 03.09.2008<o:p></o:p>

              Plus de 50 000 réfugiés chrétiens <o:p></o:p>

     
    Chrétienne indienne devant sa maison détruite<o:p></o:p>

    Les régions touchées par les émeutes sont aujourd’hui quasiment vidées de leur population chrétienne. Depuis plus d’une semaine, les militants nationalistes hindous de l’Etat d’Orissa se vengent de l’assassinat de l’un de leurs leaders. Bien que les forces de police se soient déployées autour et dans le district de Khandamal, certains villages restent coupés du monde.

    Selon les chiffres officiels, 20 églises ont été brûlées, 19 personnes tuées, 10 personnes sérieusement blessées et plus de 500 habitations ont été détruites. Mais ces chiffres sont largement sous estimés selon les chrétiens indiens. Pour eux, au moins 36 personnes, la plupart chrétiennes, ont été tuées, et plus de 1000 habitations ont été détruites.

    Aujourd’hui encore, des poches de violence demeurent.

    Pourtant, le meurtre du leader nationaliste Saraswati a été revendiqué lundi par un groupe maoïste. Ce dernier prétend même prendre la défense des chrétiens et prévient les nationalistes hindous d’ «autres punitions, s’ils continuent leur violence contre les minorités religieuses». <o:p></o:p>

    • Prions pour les chrétiens de l’Etat d’Orissa. Des milliers se sont réfugiés dans les camps de secours mis en place par le gouvernement, d’autres se cachent dans la jungle. D’autres ont été forcés à se « reconvertir » à l’hindouisme.
    • Prions pour que les responsables chrétiens indiens soient entendus par les chefs politiques de leur pays.
    • Nous avons eu des nouvelles de notre équipier. Il souhaite rester sur place pour aider. Prions pour sa sécurité.
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    Cette information peut être reprise sous condition expresse de nommer la source : Portes Ouvertes France


    Que Dieu vous bénisse

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