• Droit de réponse du professeur révoqué pour avoir projeté un film ProVie + la vidéo incriminée retirée par Youtube

    Par nicolas

    ProVie France


    Ndlr: Ce qui est violent, ce ne sont pas les IMAGES que l’on montre mais la réalité de l’avortement, que notre époque tente d’étouffer. Sur cette photographie, des « restes humains » d’un bébé de 12 semaines, trouvés dans une poubelle de clinique…

    Je viens d’apprendre ma révocation par le Ministre de l’Education nationale, Luc Chatel. Cette décision fait suite à mon lynchage par les médias “étatiques” le 24 nov 2011 alors que j’étais au chevet de mon fils gravement blessé dans un accident de la route.

    Mon crime? Avoir organisé, comme nous l’ordonnent les textes, un débat contradictoire en cours d’Education civique sur l’avortement. J’ai mené ce débat dans un souci constant d’objectivité, de tolérance, de respect pour les données scientifiques. Les élèves qui ne souhaitaient pas voir le document “No need to argue” étaient libres de quitter la classe. Deux professeurs extrémistes, partisans de l’organisation Prochoix, m’ont dénoncé à cette officine de culture de mort. (…)

    La pseudo-procédure de poursuite a été conduite au mépris des principes fondateurs du Droit. Je n’ai jamais été entendu. Les pièces en ma faveur n’ont pas été jointes au dossier (pétition des élèves, lettres de soutien des élèves etc.) “La cellule de soutien psychologique” (Sic!), soi-disant indispensable n’a été consultée que par…. ZERO élève!!

    L’acte d’accusation du rectorat, qui me reproche mes positions (scientifiquement fondées) trop proches de celles de l’Eglise catholique est purement discriminatoire.

     
     

    Communiqué de Philippe Isnard suite à sa révocation: “Quel est mon crime?” avril 2 2011

    Infos : , rétrolien

    Je viens d’apprendre ma révocation par le Ministre de l’Education nationale, Luc Chatel. Cette décision fait suite à mon lynchage par les médias “étatiques” le 24 nov 2011 alors que j’étais au chevet de mon fils gravement blessé dans un accident de la route.

    phil-isnard.jpg Mon crime?

    Avoir organisé comme nous l’ordonne les textes, un débat contradictoire en cours d’Education civique sur l’avortement.

    J’ai mené ce débat dans un souci constant d’objectivité, de tolérance, de respect pour les données scientifiques. Les élèves qui ne souhaitaient pas voir le document  “No need to argue” étaient libres de quitter la classe. Deux professeurs extrémistes, partisans de l’organisation Prochoix, m’ont dénoncé à cette officine de culture de mort.

    Une classe, à l’initiative d’une élève musulmane, m’a signé une pétition unanime de soutien. Des documents “prochoix” ont été fournis aux élèves, tels que le texte de la loi Veil et le discours de Simone Veil en faveur de l’avortement en 1975.

    Les élèves concernés par mes débats sur l’IVG, sont ceux que l’Education nationale considère comme majeurs sexuellement au point de leurs distribuer des pilules abortives sans l’accord de leurs parents.

    Dans mon ex-lycée, le Planning se livre à un endoctrinement et un bourrage de crânes  massif. Ainsi avait-il fait supprimer certains de mes cours pour prendre les élèves par petits groupes de cinq en suite du débat sur l’avortement.

    La pseudo-procédure de poursuite a été conduite au mépris des principes fondateurs du Droit. Je n’ai jamais été entendu.

    Les pièces en ma faveur n’ont pas été jointes au dossier (pétition des élèves, lettres de soutien des élèves etc.)

    “La cellule de soutien psychologique” (Sic!),  soi-disant indispensable n’a été consultée que par…. ZERO élève!!

    L’acte d’accusation du rectorat,  qui me reproche mes positions (scientifiquement fondées) trop proches de celles de l’Eglise catholique est purement discriminatoire.

    Ainsi, répondant aux questions des élèves sur le stérilet et la pilule abortive,  j’ai précisé dans quelle mesure en cas de conception ces procédés sont abortifs, voilà mon crime! Avoir dit le contraire des mensonges de l’Education nationale et du Planning, qui présentent aux jeunes ces procédés abortifs comme des contraceptifs.  Etre neutre, c’est pourtant servir la vérité!

    Au cours du Conseil de discipline mes témoins ont été violemment pris à parti et sommés de décliner leur croyance religieuse.

    La gynécologue présente comme experte scientifique, a été sommée de dire en plus si “elle pratique des avortements comme l’y oblige la loi” (re Sic !!!)

    Ce conseil s’est déroulé dans un climat de haine et d’obscurantisme, les membres refusant de reconnaître le caractère abortif du stérilet et le fait qu’il n’y a aucun témoignage direct attestant que j’aurais attenté à la neutralité.

    On me reproche d’avoir contesté un mensonge (de plus!) du Planning  en disant aux élèves que le préservatif, compte-tenu des cas de rupture, n’était pas fiable à 100/%.  Là encore,  en dépit de témoignages scientifiques, le Conseil de discipline, muré dans son idéologie obscurantiste, a refusé la réalité.

    C’est la pensée unique totalitaire qui règne dans l’Education nationale qui a conduit à cette discrimination.

    Pour sauver son dogme de l’avortement,  l’Etat est prêt à briser la vie d’un homme et de sa famille…. Mais est-ce si étonnant dans un  Etat prêt à massacrer 200 000 innocents chaque année?

    Ni la science, ni le Droit, n’existe plus, seul compte pour l’Etat, l’idéologie, une idéologie mortifère, imposée,  sans respect pour les consciences  des jeunes  ou les droits éducatifs des parents. Seules les officines de mort que sont les Plannings peuvent intervenir auprès des jeunes.

    Luc Chatel l’a écrit: discuter de l’avortement c’est attenter à la loi! Tout est dit! l’IVG est le dogme auquel tout professeur, élève, citoyen doit se soumettre.

    On peut faire un débat sur l’avortement mais on a l’obligation d’être pour!

    Tous les régimes totalitaires s’effondrent un jour car ils sont fondés sur l’intolérance et le mensonge, comme France 3 interviewant des élèves que je n’ai jamais eu en classe!

    Nous devons nous opposer à un gouvernement qui massacre les plus faibles et les plus innocents, qui renforce la police de la pensée, qui supprime toute liberté d’expression au mépris des données scientifiques, qui Licencie un professeur qui a osé décrire les techniques d’avortement, montrer ce que personne ne veut ni voir ni montrer: les bébés en gestation démantelés sans même une anesthésie!

    Nous devons tous  nous élever contre cet Etat totalitaire et lutter pour notre liberté de penser et d’expression!

    Philippe Isnard

    http://www.blogdei.com/


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    Japon: Tepco va rejeter 11 500 tonnes d'eau radioactive en mer

     


    "Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin." [Matthieu 24:14.] Mais quel est cet évangile dont Jésus-Christ parle ?

    05/04/2011 : Japon: Tepco va rejeter 11 500 tonnes d'eau radioactive en mer


    Tepco, l'opérateur de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima, a annoncé lundi qu'il allait rejeter dans la mer 11 500 tonnes d'eau radioactive qui s'est accumulée dans les installations accidentées. Un porte-parole de la société Tokyo Electric Power (Tepco) a précisé que «quelque 10 000 tonnes d'eau stockées dans des cuves et 1500 tonnes actuellement dans les réacteurs 5 et 6» vont être déversées dans l'océan Pacifique.

    Il a souligné qu'il s'agissait d'eau faiblement radioactive.
    «Nous n'avons pas d'autre choix que de rejeter cette eau contaminée dans l'océan comme mesure de sécurité», a déclaré le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano à la télévision.
    Les ouvriers à la centrale nucléaire de Fukushima ont utilisé lundi du colorant blanc pour découvrir la source d'une fuite d'eau radioactive dans l'océan. Ce, alors que le moral des entrepreneurs nippons est en berne après le séisme et le tsunami géants. Le Japon a par ailleurs laissé entendre que le désastre survenu le 11 mars dans le nord-est et l'accident de Fukushima pourraient avoir un impact sur sa politique climatique et la réduction des gaz à effet de serre.
    Plus de trois semaines après la tragédie, le bilan (toujours provisoire) de la police s'établit à 12 157 morts et 15 496 disparus, dont les corps ont très probablement été emportés au large, par le raz-de-marée.

    Des milliers de tonnes d'eau déversées sur les installations jour et nuit

    La centrale Fukushima Daiichi (N°1), située au bord de l'océan Pacifique à quelque 250 km au nord de la mégapole de Tokyo et de ses 35 millions d'habitants, n'a pas résisté à une vague géante de 14 mètres. Tout le système d'alimentation électrique est tombé en panne, stoppant net les pompes de refroidissement du combustible nucléaire. Quatre réacteurs ont alors commencé à chauffer dangereusement, provoquant des explosions et des dégagements de fumée radioactives.

    Après avoir déversé des dizaines de milliers de tonnes d'eau sur les installations jour et nuit, les ouvriers, pompiers et soldats sont parvenus à empêcher les barres de combustible d'entrer en fusion. Ce qui aurait provoqué une catastrophe nucléaire beaucoup plus grave que celle de Tchernobyl en 1986.

    Tout en continuant à maintenir les réacteurs sous perfusion d'eau douce, grâce à des pompes de secours, les employés de la société Tokyo Electric Power (Tepco), propriétaire de la centrale, s'activent pour rétablir le réseau électrique et remettre en marche les circuits de refroidissement.

    Après les salles de contrôles, ils ont réussi à réinstaller l'éclairage dans les salles des machines (turbines) des réacteurs. Mais le «lessivage» des installations a provoqué d'énormes inondations dans les bâtiments et les galeries souterraines, qui sont envahis par des milliers de tonnes d'eau radioactive.

    Tentatives de colmatage à l'aide de ciment, de sciure et de papier journal

    Tepco doit maintenant évacuer ces nappes hautement radioactives, dont une partie s'échappe dans l'océan à travers une brèche de 20 cm découverte dans une fosse reliée au réacteur 2.

    Deux tentatives de colmatage à l'aide de ciment, puis d'un mélange de polymères, de papier journal et de sciure, ont échoué au cours du week-end. Lundi, les ouvriers ont décidé d'injecter du colorant blanc dans les nappes d'eau en amont afin de voir d'où provient l'eau qui s'écoule dans la fosse. «Il n'y a pas de changement significatif dans le volume de la fuite. Nous n'avons pas réussi à stopper l'arrivée d'eau», a reconnu un porte-parole de Tepco.

    Alors que les travaux s'éternisent à Fukushima Daiichi, les grandes entreprises japonaises s'inquiètent de l'impact de la catastrophe sur la troisième économie mondiale. Selon les données publiées, lundi, par la Banque du Japon, la prévision de confiance des importantes sociétés manufacturières nippones pour le trimestre d'avril à juin est tombée à -2 points contre +3 avant ce drame.

    Le vice-ministre en charge des Affaires environnementales, Hideki Minamikawa, a, de son côté, laissé entendre que cette série de catastrophes pourraient influer sur la politique climatique du Japon. La France a proposé au Japon des droits d'émission de CO2 si l'archipel devait remettre en marche des centrales thermiques pour faire face à la pénurie d'électricité.

    Source :le parisien.fr
    Lien : http://www.leparisien.fr/tsunami-pacifique/japon-tepco-va-rejeter-11-500-tonnes-d-eau-radioactive-en-mer-04-04-2011-1392737.php



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  • 29/03/2011 : La Chine, le Brésil et l'Inde, nouvelles puissances scientifiques



    "Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin." [Matthieu 24:14.] Mais quel est cet évangile dont Jésus-Christ parle ?


    La Chine s'est propulsée en l'espace d'une dizaine d'années au deuxième rang pour le nombre d'articles publiés dans les revues scientifiques internationales, derrière les Etats-Unis, selon un rapport de la Royal Society publié lundi à Londres. La plupart des pays occidentaux figurant dans le palmarès des dix premiers voient leur part des publications baisser, au profit de pays émergents comme la Chine, le Brésil, l'Inde, et plus loin derrière, l'Iran, la Tunisie et la Turquie.

    La Chine est passée du sixième rang pour le nombre d'articles publiés sur la période 1999-2003 (4,4 % du total) au deuxième rang, avec 10,2 % du total sur la période 2004-2008, ravissant la place de numéro deux au Japon. Les Etats-Unis restent en tête, mais voient leur part des articles publiés diminuer de 26,4 % à 21,2 % entre les deux périodes. Le Japon passe du deuxième (7,8 %) au 4e rang (6,1 %), tandis que le Royaume-Uni reste à la troisième place (6,5 % contre 7,1 %). L'Allemagne, au 5e rang, publie 6 % des articles contre 7 % auparavant, et la France, au 6e rang, 4,4 % contre 5 %.

    "Le monde de la science change et de nouveaux acteurs apparaissent", constate Chris Llewellyn Smith, qui a dirigé l'étude de la Royal Society, dans le communiqué. "Au-delà de l'émergence de la Chine, nous voyons la montée de l'Asie du Sud-Est, du Moyen-Orient, de l'Afrique du Nord et d'autres pays (...), aucune nation historiquement dominante ne peut se reposer sur ses lauriers si elle veut préserver l'avantage en terme de compétitivité que procure le rôle de chef de file scientifique", estime-t-il.

    Outre l'ascension "météorique" de la Chine et dans une moindre mesure du Brésil et de l'Inde, le rapport identifie plusieurs pays en pointe, comme la Turquie (quatre fois plus d'articles scientifiques avec un auteur turc publiés en 2008 qu'en 1996) ou l'Iran, qui va porter d'ici à 2030 la part de la recherche à 4 % du PIB contre 0,59 % en 2006. En Tunisie, la recherche est passée de 0,03 % du PIB en 1996 à 1,25 % en 2009. Singapour a doublé ses dépenses en recherche à 2,61 % du PIB entre 1996 et 2007, tout en triplant le nombre des articles publiés.

    La coopération entre équipes de pays différents est l'autre trait dominant de l'étude. 35 % des articles sont désormais issus de coopérations internationales, contre 25 % il y a quinze ans.

    La Royal Society a mené son étude avec le groupe Elsevier, qui publie 2 000 revues scientifiques, dont The Lancet et Cell.

    Source : le monde.fr
    Lien : http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/03/29/la-chine-le-bresil-et-l-inde-nouvelles-puissances-scientifiques_1499974_3224.html


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    SRAEL
    tte bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le mnde entirour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin." [Matthieu4:14.] Mais quel est et évangile dont JésChrist parle ?



    29/03/2011 : Israël : un «Dôme de fer» contre les tirs de roquettes


    Ce système de défense, censé rassurer les populations civiles vivant près de Gaza et soumises à une menace permanente, offrirait une efficacité limitée.

    Israël doit étrenner dimanche une nouvelle arme antiroquette le long de la frontière avec Gaza. Ce système de défense, surnommé «Dôme de fer», est censé repérer, puis détruire en vol à l'aide de projectiles, les roquettes et obus de mortiers semblables à ceux qui sont tirés depuis dix jours vers les villes israéliennes. L'objectif est de rassurer la population civile soumise à une menace permanente. Reste à savoir si cet équipement sera à la hauteur en situation de conflit réel, et non plus seulement lors de tests.

    Prudents, les militaires soulignent qu'il ne s'agit en aucun cas d'une «arme absolue» offrant une sécurité totale aux centaines de milliers d'habitants du sud d'Israël. L'armée ne dispose en effet que de deux batteries. Chacune d'entre elles couvre un territoire de 100 km  seulement. Résultat : Benyamin Nétanyahou, le premier ministre, va se retrouver devant un dilemme. Toutes les villes touchées ou menacées ces derniers jours par des dizaines de roquettes comme Beersheba, Ashdod, Ashkelon ou Sderot ne pourront pas être protégées simultanément. Il va falloir en choisir deux parmi elles et laisser les autres sans défense au risque de provoquer la colère des habitants.

    Des hésitations au sein de l'état-major

    De plus, les responsables de l'armée n'ont accepté de déployer ces batteries qu'à contrecœur. Une partie de l'état-major estime en effet que cette arme ne doit pas servir à protéger la population civile, mais uniquement les bases aériennes et autres installations «stratégiques». Les militaires ont donc tendance à traîner les pieds avant de sortir «Dôme de fer» des hangars. Cette attitude a provoqué une vive polémique initiée par Yossi Melman, spécialiste des questions de défense et de renseignement du quotidien Haaretz. Selon lui, l'état-major craint que le système connaisse des ratés. «Les militaires redoutent que dans ce cas les projets de ventes du système à l'étranger, notamment à Singapour, au Brésil ou en Inde soient mis en question», ajoute ce commentateur.

    Le coût financier constitue un autre handicap. Selon un rapport de la commission de la défense et des affaires étrangères, Israël aurait besoin de 13 «Dômes de fer» pour contrer efficacement les menaces du Hamas, au Sud, et du Hezbollah libanais à la frontière Nord. Or le ministère de la Défense n'a toujours pas débloqué les crédits suffisants pour de telles acquisitions et le versement d'une aide promise par les Etats-Unis pour acquérir une ou deux batteries a pris du retard.

    Des «raisons stratégiques»

    Sur le plan technique aussi, les inconnues ne manquent pas. Sur le papier, «Dôme de fer» peut intercepter des roquettes à une distance de 4 à 70 km. Or plusieurs localités et kibboutz pris pour cibles par des groupes palestiniens sont situés à moins de 4 km de la clôture de sécurité séparant la bande de Gaza du territoire israélien.

    Bref, comme le souligne le général de réserve Tzvika Fogel, «les habitants doivent éviter de se laisser aller à des attentes exagérées». Matan Vilnaï, ministre chargé de la protection de l'arrière, invoque pour sa part des «raisons stratégiques» pour justifier le fait que «Dôme de fer» n'ait pas encore été utilisé tout en refusant d'expliquer ce retard sous prétexte que «l'ennemi nous écoute».

    Source :le figaro.fr

    Lien : http://www.lefigaro.fr/international/2011/03/25/01003-20110325ARTFIG00624-israel-un-dome-de-fer-contre-les-tirs-de-roquettes.php


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    ISRAEL


    "Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin." [Matthieu 24:14.] Mais quel est cet évangile dont Jésus-Christ parle ?



    22/02/2011 : Israël : ambigu soutien américain à l'ONU


    Le 51e veto de Washington à une résolution condamnant Israël n'a été consenti qu'à contrecœur par Obama .

    À Jérusalem

    «C'est un succès qui risque de nous coûter très cher»: commentateurs et diplomates tiraient dimanche un bilan plutôt amer du veto imposé par les États-Unis ce week-end au Conseil de sécurité de l'ONU. Comme le souhaitait le gouvernement de Benyamin Nétanyahou, les Américains ont refusé de condamner la poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie et dans la partie arabe de Jérusalem, où s'est installé un demi-million d'Israéliens. Après cette «victoire», personne n'a cru bon de pavoiser dimanche à Jérusalem. Au contraire, l'heure était plutôt aux interrogations sur le prix politique à payer, tant Barack Obama a fait comprendre combien il avait agi à contrecœur dans cette affaire.

    «C'était le 51e veto imposé par les États-Unis à une résolution anti-israélienne à l'ONU, mais cela pourrait être le dernier, car les Américains sont fatigués de nous défendre à propos d'une politique de colonisation qu'ils condamnent», prévoit Alon Pinkas, ancien consul général d'Israël à New York. Une analyse également entendue sur la radio militaire. «À cause de nous, les Américains se sont retrouvés totalement isolés, les 14 membres du Conseil de sécurité votant contre eux, une situation qu'ils détestent par-dessus tout», a ajouté la commentatrice en relevant les «critiques très dures» lancées par Susan Rice, la représentante américaine à l'ONU, dans son discours contre la colonisation. Autrement dit, les Américains ont voté contre un texte avec lequel ils étaient fondamentalement d'accord.

    Enfoncer le coin

    Dany Gillerman, ancien ambassadeur d'Israël aux Nations unies, a plaidé une demi-culpabilité en soulignant que le refus des Palestiniens du moindre compromis était à l'origine de ce veto américain. Il reconnaît toutefois qu'Israël est «désormais en comptes avec Washington». Dore Gold, lui aussi ex-représentant de l'État hébreu à l'ONU et proche de Benyamin Nétanyahou, admet que la colonisation constitue un «dossier très difficile à plaider», et ce d'autant plus que le premier ministre et le président américain sont en froid. L'an dernier, Benyamin Nétanyahou avait refusé d'imposer un gel de six mois à la construction de logements dans les colonies de Cisjordanie. Barack Obama avait pourtant mis tout son poids dans la balance pour obtenir ce «geste de bonne volonté», censé permettre une reprise des négociations avec les Palestiniens, gelées depuis des mois. Autre signe du malaise: le président américain n'a pas éprouvé le besoin de consulter Nétanyahou ni avant ni après la chute de Hosni Moubarak, alors que le traité de paix entre Israël et l'Égypte est considéré, tant à Washington qu'en Israël, comme un test essentiel pour juger du nouveau pouvoir en place au Caire.

    Les Palestiniens sont bien décidés à enfoncer le coin en poursuivant leur campagne anticolonisation devant l'Assemblée générale des Nations unies, avec à la clé l'espoir de sanctions contre Israël - sans que les Américains puissent cette fois imposer leur veto. Ce programme s'intègre au projet de Salam Fayyad, le premier ministre palestinien, qui veut jeter les bases d'un État indépendant, dont l'existence pourrait être reconnue par presque toute la communauté internationale, en septembre.

    Source : le figaro.fr
    Lien : http://www.lefigaro.fr/international/2011/02/20/01003-20110220ARTFIG00191-israel-ambigue-soutien-americain-a-l-onu.php


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