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    Inde : Prière efficace face au danger

    par Myriam Michou

     

    portesouvertes.fr

    Inde : Prière efficace face au danger

    En Inde, le simple fait d’apporter de l’aide aux chrétiens persécutés présente un danger. Heureusement, Pramod a pu compter sur la prière.

    Ce jour-là, Varcha était en train de travailler chez elle pendant que son mari Pramod était parti visiter des chrétiens persécutés, à 70 km de là. C’était le 7 janvier dernier. « Vers midi, j’ai ressenti le besoin impérieux de prier pour mon mari » se souvient Varcha.

    « J’ai alors mis de côté ce que je faisais, je me suis assise, et j’ai intercédé pour Pramod. J’ai prié plus longtemps que d’habitude sans me douter qu’à ce moment précis, mon mari était en danger. »

    Effectivement, au même moment, son mari Pramod était violemment pris à parti par une foule menaçante et risquait d’être lynché. Il quittait le village de Koddapar, dans l’Etat de Madhya Pradesh où il avait passé du temps à prier et à encourager sept familles chrétiennes persécutées pour leur foi.

    Une aide risquée mais vitale

    Pramod s’est mis à prier silencieusement pour que Dieu le guide. Répondant posément aux questions de ses assaillants, il a pu finalement partir avec l’interdiction de ne plus revenir dans ce village.

    Ce genre de visite comporte des risques mais est primordial pour les chrétiens persécutés de Koddapar. Depuis leur conversion, ils n’ont plus le droit de travailler dans leur champ, ni d’acheter de la nourriture à l’épicerie du village.

    Pour les aider à survivre, Portes Ouvertes a offert 5 chèvres à chaque famille chrétienne du village : « Je suis extrêmement reconnaissant pour ce don qui est notre seule source de revenu », témoigne un chrétien de Koddapar.

    Photo : Chaque famille chrétienne du village a reçu cinq chèvres.

    Sujets de prière
    Remercions Dieu car il a répondu aux prières de Varcha et Pramod,
    Prions pour les chrétiens du village de Koddapar afin qu’ils soient encouragés et qu’ils persévèrent dans la foi,
    Prions pour que Dieu bénisse et protège Varcha et Pramod.

    http://www.blogdei.com/23996/inde-priere-efficace-face-au-danger/

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    LE CERVEAU ADORE LE CHOLESTEROL.

    NE L’EN PRIVEZ PAS AVEC DES MEDICAMENTS INUTILES !

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    Le cholestérol est une molécule fondamentale du cerveau ! Faut pas qu’il en manque !

    Comment puis-je en être aussi sûr ? C’est simple. Nous connaissons un certain nombre de maladies où la synthèse du cholestérol est déficiente, en particulier dans le cerveau.

     

    Les sujets atteints présentent à des degrés divers, proportionnels au déficit en cholestérol, des troubles cognitifs ou des troubles de l’intelligence pour parler simplement.
    Dans la forme homozygote du SLO syndrome (sans doute une des formes les plus sévères des déficits en cholestérol), les enfants naissent très handicapés, avec en plus des dysmorphies majeures et des troubles de l’immunité, pour faire simple.

    Il faut savoir que le cerveau est un organe autonome pour ce qui est de son cholestérol, lui-même indispensable au bon fonctionnement de nos neurones. Qu’est-ce que cela veut dire ?

    Simplement que pour les autres organes demandeurs de cholestérol (ovaires, surrénales, etc…), le foie (principal producteur de cholestérol dans notre organisme) transfert le cholestérol grâce aux lipoprotéines. Celles-ci sont des très grosses molécules qui ne franchissent pas la barrière hémato-méningée, et qui donc n’atteignent pas le cerveau.

    Le cerveau fabrique lui-même le cholestérol dont il a besoin grâce à des cellules très spécialisées appelées astrocytes.
    Si on est atteint d’une maladie qui empêche la synthèse du cholestérol, le cerveau ne peut pas être servi de l’extérieur …
    Facile à comprendre tout ça !
    En fait, on ne connaît pas très bien les facteurs régulateurs de la synthèse du cholestérol dans le cerveau. Certains ont pensé que si on avait un cholestérol élevé dans le sang, ce n’était pas bon pour le cerveau, et qu’il était judicieux de baisser le cholestérol du sang pour protéger le cerveau. Que des scientifiques, des médecins, des comités d’éthique, des autorités sanitaires de tout poil aient laissé faire de telles expériences laissent pantois. Ils ne savaient donc même pas le minimum de ce qui est dit plus haut dans ce billet !

    Malheureusement, les statines, elles, franchissent la barrière hémato-méningée et donc sont capables de diminuer la synthèse du cholestérol dans le cerveau !  C’est un  peu théorique tout ça parce que, à ma connaissance, à part que les statines atteignent le cerveau, nous n’avons pas de données solides montrant une diminution du cholestérol dans le cerveau sous l’effet des statines. Même chez l’animal !  Si un lecteur de ce billet avait une référence sérieuse à ce sujet, merci de me la communiquer.

    Question subsidiaire cruciale : avons-nous des données scientifiques (ou autres) suggérant que les statines diminuent nos capacités cognitives, notre intelligence ?
    La réponse est positive.
    Au moins deux essais cliniques conduits en double aveugle ont montré une diminution des capacités cognitives sous statine par rapport à un placebo. Et cela pour des faibles doses (sans rapport avec ce qui est administré actuellement) et de courtes périodes (quelques semaines).
    Nous avons aussi une myriade de témoignages (y compris sur ce blog) où des gens viennent témoigner du handicap mental induit par les statines. Il suffit de se promener sur Internet un petit moment pour constater les dégâts. Le plus célèbre de ces témoignages est venu d’un ex-astronaute américain de la NASA (Stuart Graveline) qui en a d’ailleurs fait un livre.

    Les témoignages sont tellement récurrents, et convaincants, que la plus célèbre revue scientifique pour grand public, le fameux « Scientific American » en a fait un article spécialement dédié à cette complication des statines dans son numéro d’Octobre 2010.

    Il suffit en général d’arrêter le médicament pour aller mieux. On ne compte pas les témoignages de gens (y compris sur ce blog) qui ont vu des parents ou des proches « guérir » de leur maladie d’Alzheimer dès lors qu’ils avaient arrêté leur statine … On reste rêveur !

    Dernier point, et pas le moindre : parmi les grandes indications des médicaments anti-cholestérol, comme les statines, figure le risque d’avoir (ou de récidiver) un accident vasculaire cérébral, qu’il soit transitoire ou définitif avec plus ou moins de séquelle(s) et handicap(s).

    Il a été pourtant clairement démontré qu’avoir un cholestérol élevé n’augmentait pas le risque d’accident vasculaire cérébral et qu’au contraire, quand on avait un cholestérol bas, le pronostic (y compris vital) de l’accident vasculaire cérébral était plus mauvais que si on avait un cholestérol élevé.
    Les lecteurs attentifs de ce blog ont tout compris : le cerveau adore le cholestérol et, en cas de pépin, il guérit mieux si il a du cholestérol à sa disposition !

    Dernier (vraiment le dernier) point : est-ce que diminuer le cholestérol avec un médicament diminue le risque d’avoir un accident vasculaire cérébral ?
    J’ai déjà répondu à cette question dans mes livres. Donc, mes lecteurs connaissent déjà la réponse.

    Pour les paresseux qui ne lisent pas les livres en papier, les vilains, et les radins, je le répète ici : NON, les statines ne protègent pas de l’accident vasculaire cérébral !

    Ou plutôt, soyons précis : les études publiées ne montrent pas d’effet significatif, contrairement à ce que disent leurs auteurs, notamment les auteurs de l’essai SPARCL, pour les spécialistes. Il suffit de lire la méthodologie de l’essai puis les statistiques publiées par les auteurs eux-mêmes (ou plus vraisemblablement les statisticiens du sponsor de l’essai) pour le constater.
    Tout le monde peut vérifier !

    Mais, au fait, pourquoi personne ne vérifie cette évidence et continue-t-on  de prescrire une statine pour la prévention de l’accident vasculaire cérébral ?

    Réponse : c’est ce que l’on  peut appeler le syndrome du Mediator, tout le monde devrait voir, ça crève les yeux et pourtant rien ne bouge !

    Et dire qu’on dit qu’il faut diminuer le déficit de la sécu …

    Cette entrée a été publiée dans Cholestérol et Cerveau, et marquée avec , , le <time class="entry-date" datetime="2010-11-25T09:57:00+00:00">25 novembre 2010</time> par .

    http://michel.delorgeril.info/cholesterol/cholesterol-et-cerveau/le-cerveau-aime-le-cholesterol#more-573


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    IMPUISSANCE SEXUELLE (MASCULINE) ET STATINES

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    Dans un article récent (le 13 septembre 2011) signé d’un certain John Gever (Senior Editor) dans Medpage Today, le site web médical américain le plus diffusé (tous les médecins américains, et moi aussi, ont les messages scientifiques des experts journalistes de ce site professionnel tous les jours dans leur boîte aux lettres électroniques), il est proclamé : « Statins aid male sexual function » …
    … qu’on peut traduire par : « les statines améliorent les fonctions sexuelles des hommes« .

    Cette affirmation allant totalement à l’encontre des données connues sur le cholestérol et l’activité sexuelle (masculine et féminine) que j’ai résumées dans mes récents livres électroniques [la version française est titrée : un crime sexuel presque parfait : statines contre cholestérol], j’ai pris la peine d’aller voir comment ce prodige avait pu arriver…

     

    Cet auteur résume deux articles récents.

    Tous les deux d’une si excessive médiocrité que j’ai honte d’en parler; et si je le fais, c’est pour montrer comment cet auteur « détourne » des données cliniques sans rapport avec les statines pour vanter, de façon incongrue, l’avantage de prendre des statines.

    C’est ridicule, certes, mais pour mon propos c’est une magnifique illustration de la façon dont procèdent l’industrie et ses alliés pour tromper les médecins et les patients.
    C’est bien visible aujourd’hui en période de crise alors qu’il faut booster les ventes, ça l’était moins avant mais ils faisaient sans doute la même chose …

    Dans le premier article, les auteurs montrent qu’il existe une association statistique entre l’impuissance sexuelle des hommes et le risque de complications cardiovasculaires. Aucune analyse sérieuse ne concerne les statines.
    Notre brillant éditorialiste semble en conclure qu’en diminuant le risque cardiovasculaire, on améliore les fonctions sexuelles. C’est ridicule évidemment !

    Dans le deuxième article, les auteurs notent que des modifications du mode de vie avaient eu des effets bénéfiques sur la fonction érectile d’hommes ; ils cumulent les résultats de 6 études, parmi lesquelles deux consistaient à donner une statine … C’est ce qu’ils appellent une modification du mode de vie … Quand les auteurs excluent les deux études avec les statines (comportant un total de 143 patients, l’abondance fait rêver …), la modification du mode de vie (essentiellement des conseils diététiques variés mais mal décrits et l’encouragement à pratiquer un peu d’exercice physique), l’amélioration de la fonction érectile persiste.
    Parmi les deux études avec une statine (toutes deux sponsorisées, donc typiquement commerciales), l’une est positive et l’autre non …

    Que des auteurs, ayant apparemment toutes leurs facultés intellectuelles, puissent sur une base aussi fragile tirer des conclusions, et titrer leur article ainsi qu’ils l’ont fait, donne une idée de l’état de déréliction (et sans doute de vénalité) des médias dits professionnels de notre époque …
    Pas de cocorico s’il-vous-plaît, les articles de ce type se retrouvent bien vite sur les sites francophones traduits presque au mot à mot !

    Puis-je me permettre, sans vanité aucune, de dire à nouveau aux visiteurs de ce site que s’ils souhaitent une information indépendante et solide sur les effets des statines sur leur vie sexuelle, ils la trouveront dans mon récent livre électronique (NDE : en version française ou anglaise que vous pouvez obtenir tout de suite par téléchargement après achat* en ligne).

    (*cliquez pour feuilleter ce livre gratuitement en ligne en Français ou aussi en anglais)

    Cette entrée a été publiée dans Cholestérol et Vie Sexuelle, et marquée avec , , , , , , , , le <time class="entry-date" datetime="2011-09-14T19:01:00+00:00">14 septembre 2011</time> par .

    http://michel.delorgeril.info/cholesterol/cholesterol-et-vie-sexuelle/impuissance-sexuelle-masculine-et-statines#more-604


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    Philippe Even, auteur de

     

    Et si le cholestérol n'était pas dangereux ?

    Si nos artères n'avaient rien à craindre ? C'est la thèse explosive du professeur Philippe Even. A lire dans "le Nouvel Observateur".

    Philippe Even, auteur de "la Vérité sur le cholestérol", à paraître le 21 février (Editions du Cherche-Midi). (Jean-François Robert pour
    Sur le même sujet

    L’affaire est à peine croyable. Le cholestérol ne serait pas ce serial killer redouté, responsable de milliers de crises cardiaques et d’arrêts vasculaires cérébraux ? Le faire baisser serait même mauvais pour la santé ? Une science universitaire et médicale vieille d’un demi-siècle doublée d’une solide croyance populaire se voit brutalement remise en question par la voix désormais familière de Philippe Even, auteur du "Guide des médicaments utiles, inutiles et dangereux" (Cherche Midi).

    Le professeur s’est attelé à un nouveau marathon cérébral : relire calculette en main les études de référence sur la nocivité du cholestérol et les essais cliniques sur les statines, ces puissants réducteurs de cholestérol – le plus gros marché du médicament avec un chiffre d’affaire en 2011 de 25 milliards de dollars. Tout en se gardant de conclure prématurément, "le Nouvel Observateur" ne pouvait passer sous silence un débat qui concerne 5 millions de patients en France et 220 millions dans le monde.

    "Mythes du cholestérol"

    Car Philippe Even n’est pas isolé. A l’initiative du Suédois Uffe Ravnskov, auteur des "Mythes du cholestérol" et d’une centaine d’articles sur le sujet, des chercheurs et médecins de tous pays se sont regroupés en 2002 au sein du Thincs, the International network of cholesterol skeptics.

    Ils sont 98, indépendants de l’industrie pharmaceutique. La plupart publient dans les revues haut de gamme, comme le "Lancet", mais leurs travaux sont peu relayés. Tous disent avoir découvert chacun de leur côté avec stupeur que rien dans la littérature scientifique ne prouve l’existence d’un lien entre le niveau de cholestérol et l’athérosclérose. Pour eux, le diabolique cholestérol-boucheur-d’artères serait un mythe.

    La plus grande erreur de diagnostic de toute l’histoire du médicament ?

    Il n’y aurait donc pas de bénéfice pour la santé à faire baisser le cholestérol, sauf pour certains cas d’hypercholestérolémie familiale – 100.000 français -. Encore que selon Philippe Even, même cette question mérite d'être débattue.

    De deux choses l’une : soit ces savants sont des fous, soit nous sommes en présence de la plus grande erreur de diagnostic de toute l’histoire du médicament, comme le soutiennent Uffe Ranskov ou Michel de Lorgeril, au CNRS de Grenoble, auteur de trois ouvrages sur le "cholesterol delirium".

    Pour lui, la peur du cholestérol repose sur "une suite quasi ininterrompue de messages orchestrés par une propagande intensive devenue de plus en plus sophistiquée avec le temps".

    "Un médicament qui fait mal"

    Aux Etats Unis, le débat n’est pas tabou. "Les médicaments anticholestérol ne font aucun bien à beaucoup de gens", affirmait le journaliste John Carey en une du très sérieux "Business Week", en 2008 (traduit en français dans le numéro de février de la revue "Books", consacré lui aussi au cholestérol). "Le Nouvel Observateur" retrace cette semaine l’histoire du consensus né après-guerre en Amérique à l’occasion d’une vaste épidémie d’attaques cardiovasculaires, et détaille les incertitudes qui seraient de nature à le fragiliser.

    Désormais incontournable, ce débat intéressera les médecins qui pensent tout bas qu’on a la main trop leste à prescrire des statines et qu’on en fait beaucoup trop autour du cholestérol. Etre sous statines à vie n’est pas anodin. Le traitement peut être toxique pour les muscles. Des généralistes évoquent "un médicament qui fait mal", au point de conseiller parfois en douce à leurs patients d’arrêter leur traitement contre l’avis du cardiologue. La FDA, l’autorité de santé américaine, a d’ailleurs fini par alerter, au printemps dernier, sur le risque de perte de mémoire et même de diabète.

    Une position qui suscite déjà la controverse. Claude Le Feuvre, président de la Fédération française de cardiologie, réplique à Philippe Even dans une interview au "Nouvel Observateur" : selon lui, si le cholestérol n'est pas le seul coupable, il a bien un "lien de causalité direct" avec l'arthérosclérose.

     

    A LIRE dans "le Nouvel Observateur" du 14 février :

    • DOSSIER. La vérité sur le cholestérol. Et s'il n'était pas dangereux ? Si la prescription de statines à des millions de patients ne visait qu'à enrichir les laboratoires sans aucun effet médical ? Le professeur Even lance la polémique. Le président de la Fédération française de cardiologie lui répond.
    •  Sarkozy : Hollande, cet imposteur ! L'ex-président ne supporte pas d'avoir un successeur. Et fait dire tout haut à ses grognards ce que lui-même pense tout bas.
    •  Ventres à louer. Loin des polémiques françaises sur la marchandisation du corps, la gestation pour autrui (GPA) se développe aux Etats-Unis. Dans une logique purement commerciale.

    Téléchargez le magazine :  sur PC / Mac sur iPhone / iPad sur Android

    http://tempsreel.nouvelobs.com/le-dossier-de-l-obs/20130213.OBS8759/et-si-le-cholesterol-n-etait-pas-dangereux.html


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    Osez le couple!

     

    http://www.magazine-family.info/articles.php/osez-le-couple-8256.html 

    05.02.13 - Même si la vie à deux semble plus compliquée que jamais, elle continue à faire rêver.
    Comment construire et faire durer son couple? Le sociologue Jean-Claude Kaufmann, coauteur de «Oser le couple» (éd. Armand Colin), livre quelques conseils, avec une foi assurée en l’amour. Entretien.

    Pourquoi devrait-on encore s’encourager à oser le couple?
    Parce que la vie de couple est devenue très difficile! Notre société rend les relations sociales éprouvantes. Dans ce contexte, nous avons besoin de l’univers du couple et de la famille, qui est un petit monde fondé sur la logique de l’amour. Le désir de fonder un couple n’a peut-être jamais été aussi fort qu’aujourd’hui.

     


     

     

     

     


    Vous constatez que le couple se vit au cœur d’une société que vous décrivez comme étant «sans modèle ni repère», une société où le «moi» est tout-puissant, plus autonome, plus contrôlant et plus exigeant.
    En effet. Cette nouvelle société est née dans les années 1960. D’une société habitée par une morale et des codes collectifs, nous sommes passés à une société fondée sur l’individu, lequel est libre de créer ses propres repères. Le «moi» y est tout-puissant et il a peur de disparaître dans la relation à deux: on rêve d’aller vers l’autre, mais on a peur de se perdre. Lors de la rencontre, on a d’ailleurs beaucoup de mal à se lâcher et à s’abandonner, alors que c’est la logique de l’amour.
    Une autre dérive est celle de la logique conservatoire. Nous fonctionnons comme des consommateurs et réduisons l’objet du désir à un produit de consommation, que l’on choisit selon un certain nombre de critères. Dans le domaine amoureux, cette dérive très forte s’observe beaucoup sur les sites de rencontres.

    C’est la tension entre le lâcher-prise et le désir de contrôle…
    Oui, et nous nous laissons prendre au jeu, convaincus que la relation sera plus simple si l’autre n’est que notre double. Nous entretenons l’illusion qu’ainsi nous ne serons pas dérangés dans notre vie. C’est impossible! L’entrée dans la vie conjugale implique un changement de part et d’autre: l’amour implique l’abandon à deux vers l’inconnu. C’est une aventure dans un nouveau monde qui se construit à deux

    http://www.magazine-family.info/articles.php/osez-le-couple-8256.html

    5.BARRE--139-

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