•  

     

    Le Pape François a déclaré qu’il est de notre devoir moral d’accueillir des réfugiés en Europe.

    Le Chef de l’Eglise catholique hongroise a émis une opinion différente :

    « Ce ne sont pas des réfugiés. C’est une invasion ! » a déclaré Laszlo Kiss-Rigo, Evêque de Szeged-Csanad, cette région du sud de la Hongrie envahie ces dernières semaines par des dizaines de milliers de migrants en provenance de Syrie et d’autres pays.

    « Ils arrivent ici et hurlent Allahu Akbar »

    « Ils veulent conquérir » à déclaré l’Evêque au Washington Post.

    Les gens se camouflent en réfugiés et menacent les valeurs chrétiennes. Les Syriens en Hongrie n’ont pas besoin d’argent, car ils ont de l’argent. L’Evêque décrit la plupart des migrants « comme très arrogants et cyniques. »

    La position de l’Evêque Kiss-Rigo s’aligne sur celle du Premier Ministre Viktor Orban, qui se pose en défenseur des valeurs chrétiennes en Europe et justifie ainsi ses discours intransigeants envers les réfugiés.

    « Je suis entièrement d’accord avec le Premier Ministre » a déclaré Mgr Kiss-Rigó, qui fut nommé évêque de Szeged par le Pape Benoît XVI, il y a quelques années, « le Pape François n’a aucune idée de la situation réelle ».

    Mgr Kiss-Rigo a raison.

    Ne nous laissons pas aveugler par une compassion démesurée. Il en va de notre propre survie. L’immigration musulmane est une catastrophe pour l’avenir de l’Europe.

    L’Allemagne abrite déjà 4.3 millions de musulmans. Si elle poursuit sa folle politique d’accueil, sa population musulmane pourrait s’élever à 6 millions d’individus, d’ici la fin de l’année. L’hymne allemand pourra bientôt être chanté sur l’air du « Coran über alles » !

    L’opération « brain washing », lavage de cerveau, est lancée

    Angela Merkel et les autres leaders européens deviennent frénétiques et veulent nous imposer des centaines de milliers de migrants, majoritairement musulmans, à tout prix. La BBC, proche de l’hystérie, diffuse des reportages sur les malheurs des réfugiés d’heure en heure. Idem sur nos chaînes de télévision.

    L’opération « brain washing », lavage de cerveau, est lancée.

    Certains de nos compatriotes, béatement sereins, accueillent avec joie cette population, qui, soumise à une idéologie suprématiste et mortifère, amène son style de vie unique, dicté par le coran, et refusera de s’intégrer, car il s’agit avant tout d’une migration conçue pour dominer les sociétés non-musulmanes et paver la voie à leur totale islamisation, qui se déverse en flots continus sur l’Occident.

    Car ces gentils migrants, même si certains sont sincères, viennent avec leur culture, leurs traditions, leur religion suprématiste et une fois installés, ils seront « pris en charge » par les organisations musulmanes, affiliées aux Frères musulmans et mouvements salafistes et leurs imams – organisations réputées pour leur « amour » immodéré de l’Occident – et éduqués à la haine de leurs pays hôtes.

    Ces doux naïfs accueillent chaleureusement le serpent islamique, qui, le temps venu, les dévorera tout cru

    Quand je vois ces gens souriants, animés de bons sentiments, heureux de souhaiter la bienvenue aux « réfugiés », je ne peux m’empêcher de penser : ces doux naïfs accueillent chaleureusement le serpent islamique, qui, le temps venu, les dévorera tout cru.

    Ecoutons les sages conseils du courageux islamolucide Geert Wilders :

    Il est temps d’agir, il est temps de fermer nos frontières, il est temps d’arrêter cette invasion !

    Note MAV: Je sais que ce problème n’a strictement aucune solution humaine. Oui, nous sommes déchirés par ces malheureux qui fuient juste pour survivre. Mais nous ne savons absolument pas  quels sont les vrais réfugiés, et quels sont les terroristes cachés, et même parfois se déguisant en Chrétiens, avec femme et enfants.

    C’est un jugement qui arrive sur nos nations qui ont rejeté les lois de Dieu. Jusqu’où faudra-t-il aller pour que nous fléchissions le genou dans les larmes devant le Seigneur Jésus-Christ. La détresse va changer rapidement de camp !


    votre commentaire
  •  

     

    Une étude scientifique est formelle, il y a une vie après la mort



    Une nouvelle étude scientifique sur l'état de conscience de patients après leur mort, débouche sur l'inexorable conclusion qu'il y a bel et bien une vie après la mort.

    Cette fois, c'est l'université de Southampton, au Royaume-Uni, qui a réalisé une étude durant quatre ans, sur 2060 patients ayant subi un arrêt cardiaque. Selon cette étude, près de 40% des survivants (patients ayant été réanimés après leur mort) ont rapporté une "sentation étrange de conscience", alors même qu'ils étaient en état de mort clinique.

    Le Dr Sam Parnia, qui a dirigé l'étude , a déclaré dans le DailyMail : «Les preuves suggèrent que, dans les premières minutes après la mort, la conscience n'est pas annihilée. Nous ne savons pas si elle s'estompe ensuite mais directement après la mort, la conscience n’est pas perdue».

    Parmi les patients interrogés, l'un d'eux explique avoir quitté son corps et avoir assisté à sa résurrection depuis le coin de la pièce. Et il a été en mesure de raconter, en détail, tous les soins qu'il a reçus pendant les 3 minutes où il était en état de mort clinique, alors que le cerveau ne peut fonctionner plus de 20 ou 30 secondes après l'arrêt des battements du coeur.

    Pour les scientifiques de l'université de Southampton, il est donc impossible que les patients aient vécu des "hallucinations". Ils ont vécu des "événements réels" après leur mort clinique, puisque leurs "souvenirs racontés" sont "compatibles avec les faits".

    Paul OHLOTT

     
     

    Lire aussi: Il y aurait bien une vie après la mort

    Vidéo: Il y a bien une «vie» après la mort via TVA Nouvelles

     

    25_ligne_semence

     

    La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive

     

    Car je n’ai point honte de l’Évangile: c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec, parce qu’en lui est révélée la justice de Dieu par la foi et pour la foi, selon qu’il est écrit: Le juste vivra par la foi.

    La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages.

    Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles.

    C’est pourquoi Dieu les a livrés à l’impureté, selon les convoitises de leurs cœurs; en sorte qu’ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen! C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes: car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature; et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.

    Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d’injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice; pleins d’envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d’intelligence, de loyauté, d’affection naturelle, de miséricorde. Et, bien qu’ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font.

    (‭Romains‬ ‭1‬:‭16-32‬ LSG)

    Actes 3 : 19 "Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur", 2 Chroniques 30 : 8 "Ne raidissez donc pas votre cou, comme vospères; donnez la main à l'Eternel, venez à son sanctuaire qu'il a sanctifié pour toujours, et servez l'Eternel, votre Dieu, pour que sa colère ardente se détourne de vous."


    votre commentaire
  •  
     
    1-26

     

     

    Ébola et notre inconscience

     

    Sans avoir encore explosé aussi exponentiellement que ne le prévoyaient certains modèles (que nous avions précédemment cités dans nos articles précédents) l'épidémie d'Ébola se développe rapidement, et pourrait très bien atteindre, non seulement l'ensemble des pays dits pauvres, mais aussi à un moindre degré (quoique ce ne soit pas certain) les pays dits riches, l'Europe, les États-Unis...


    Soignants de l'épidémie d'Ébola à Monrovia, au LIbéria

    Il en est de même des taux de mortalité. Loin de s'atténuer, comme lors des précédentes épidémies d'Ébola, ils paraissent s'accroitre. Les statistiques venant des pays actuellement touchés minorent sans doute d'ailleurs la réalité, tant en ce qui concerne les cas, que les décès, compte tenu de la difficulté d'identifier ce qui se passe en brousse, comme dans les bidonvilles des mégapoles africaines, où le virus se répand actuellement.

    La communauté internationale, selon l'expression classique, n'a manifestement pas pris conscience de l'ampleur et des taux de progression de l'épidémie. Cela tient à diverses raisons : la croyance (fausse) que le virus resterait confiné dans les pays pauvres, des croyances également fausses concernant la contagiosité, laquelle paraît plus grande qu'il n'est dit généralement, enfin d'autres illusions sur les capacités des institutions sanitaires à réagir rapidement.

    Il apparaît ainsi de plus en plus évident que les autorités politiques et de santé ne sont pas suffisamment informées et averties pour prévoir les grands changements systémiques que l'humanité devra dorénavant affronter. Ces changements découleront de phénomènes désormais irréversibles comme le réchauffement climatique et la destruction des écosystèmes. Il serait ainsi tout à fait probable que si une grande majorité d'espèces vivantes complexes disparaissaient dans le siècle ou le demi-siècle, des espèces moins complexes mais tout à fait bien organisées pour faire face prendraient le relais. Ce serait le cas des virus et microbes. Ou bien ceux déjà existants muteraient pour profiter des nouveaux espaces à eux ouverts, ou bien de nouvelles espèces mieux organisées émergeraient, la nature ayant horreur du vide. Il faudra aussi tenir compte du fait que si les sociétés humaines s'appauvrissaient à l'occasion de ces changements, les taux de natalité pourraient continuer à croître à court terme, aggravant les problèmes rencontrés par les adultes survivants.

    Plus immédiatement, les observateurs considèrent qu'Ébola est le fruit de la croissance, cette croissance qui est devenue incontrôlable. De la forêt où le virus restait confiné chez certaines chauves-souris ou primates, il s'étendra dorénavant sans limites perceptibles à l'ensemble des continents, du fait de la densité des transports aériens et de la multiplication des mégapoles, où devraient résider prochainement, selon les prévisions, au moins les trois quarts des humains. La Chine et l'Inde, à cet égard, ont des soucis à se faire.

    Nous ne pouvons prétendre traiter d'aussi graves problèmes dans un simple article tel que celui-ci. Abordons cependant quelques points à l'ordre du jour, pour compléter ce qui avait été indiqué dans nos articles précédents [Cf. Pour approfondir plus bas, après l'article].


    La contagiosité d'Ébola

    Sans évidemment être virologue ou épidémiologue, mais en faisant appel au simple bon sens, nous ne comprenons pas comment les pays destinataires des vols en provenance de l'Afrique, comme plus généralement les pays recevant des voyageurs provenant de zones infectées, peuvent se rassurer en affirmant que la détection des températures (à condition d'ailleurs qu'elle soit bien faite) suffirait à identifier les malades contagieux. Il est dit que la contagiosité ne se produirait pas avant les premiers symptômes, dont celui de la fièvre. À supposer que cela soit vrai et le demeure, comme l'on sait que ces symptômes, notamment la fièvre, n'apparaissent que quelques jours après la contamination, le risque est grand de voir des voyageurs déjà contaminés, mais non encore symptomatiques, pénétrer sur le territoire, sans être détectés par les filtres aux frontières.

    Si, ensuite, ces personnes, ou des personnes avec lesquelles elles auront été en contact, manifestent des symptômes identifiés comme ceux d'Ébola, elles auront eu le temps, avant d'être isolées, de contaminer des dizaines d'autres contacts. On ne pourra pas en effet considérer que les millions de personnes atteintes de grippes ou d'entérites, fréquentes en cette saison, devraient passer des tests ou être isolées. Lorsque le virus sera installé, même faiblement, dans les pays jusqu'alors indemnes, le prédiagnostic, consistant à demander si le sujet provient d'un pays africain contaminé, ne sera plus applicable. Faudra-t-il alors faire passer des tests approfondis à tous les grippés, afin de séparer les faux-positifs des positifs ? Le système de santé sera vite débordé, non seulement par le nombre des malades déclarés, mais par la nécessité de multiplier, par milliers ou millions, les examens, qui se révéleraient ensuite inutiles.

    Un autre problème est désormais à l'ordre du jour, concernant la prévention de la contagiosité, car elle suppose des équipements spéciaux coûteux, devant en principe être détruits rapidement après usage. Or ces équipements commencent à manquer dans les pays infectés. Il en sera rapidement de même dans les pays menacés d'infection. Qui paiera et, plus spécifiquement, qui lancera les actions de production et de distribution susceptibles de pallier ces ruptures de stocks


    L'appel à l'armée

    En cas d'urgence nationale, un gouvernement pourrait considérer qu'il doit faire appel à la police ou à l'armée pour mettre un semblant d'ordre dans une situation devenue incontrôlable. Mais ce serait courir le risque de contaminer rapidement les policiers ou militaires. De plus, aussi disciplinés et dévoués que soient ces personnels, il serait compréhensible que certains d'entre refusent d'obéir à des ordres dépassant évidemment ceux auxquels ils considéraient de leur devoir d'obéir.

    Par ailleurs, comme beaucoup des États atteints, aujourd'hui en Afrique, verront très vite s'écrouler le peu qu'ils possédaient de structures institutionnelles, les pays riches devront-ils envoyer des troupes au secours de ces États en faillite. D'ores et déjà, Barack Obama, qui vient de décider l'envoi de quelques 5.000 hommes en Afrique de l'ouest, s'est fait (non sans de bonnes raisons selon nous) accuser de vouloir introduire dans ces pays la présence de l'Africa Command, dont les gouvernements avaient précédemment déclaré vouloir se passer. Même s'il s'agissait de troupes sous mandat de l'ONU, elles seraient nécessairement très mal accueillies, au vu des mesures de prophylaxie qu'elles seraient obligées d'imposer. Les Organisations non gouvernementales (ONG) occidentales ne le seront pas mieux. Ainsi l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), principale ONG américaine, est souvent, à juste titre, considérée comme un faux-nez de la CIA ou du Pentagone. Seule, Médecins sans frontières (MSF) semble échapper à ces critiques. Mais elle le paiera durement, du fait de la mortalité qui frappera nécessairement ses volontaires.


    Vaccins et sérums

    L'appel aux vaccins, destinés à prévenir la contagion, et aux sérums, destinés à soigner des malades déjà infectés, est présenté comme la solution la plus efficace pour bloquer la diffusion du virus. Mais, généralement, ceux qui en parlent dans les médias ne se rendent pas compte des difficultés qu'il faudra résoudre, ni des obstacles pratiques qu'il faudra surmonter, pour que de tels remèdes surviennent à temps. Une course de vitesse est désormais engagée entre les recherches médicales et la diffusion du virus. Rien ne dit que l'humanité pourra la gagner, malgré les ressources de la science.

    Jusqu'à présent, le virus Ébola avait été considéré comme de diffusion locale, dans des pays, dont l'état sanitaire ne mobilisait pas les grands industriels de la recherche médico-pharmaceutique (les big Pharma, selon le jargon). Au début des années 2000, à l'instigation du Département américain de la Défense, quelques recherches avaient été mollement menées, étudiant les risques de bio-terrorisme. Mais rien de grande ampleur n'en était sorti. À ce jour, dans la suite de ces recherches, deux vaccins ont été annoncés, qui comportent un ajout de protéines d'Ébola dans un virus inoffensif.

    L'un de ces vaccins est le fait d'une petite entreprise américaine nommée
    Newlink Genetics, et l'autre du géant britanniqueGlaxosmithkline (GSK). Ils semblent agir chez des macaques, mais n'ont pas encore été testés chez des humains.

    Or, des tests, en principe impérativement requis dans des situations normales, paraissent en ce cas impraticables. Selon les informations données par les experts, il faudrait administrer le sérum à au moins 5 000 personnes avant de les placer dans des situations à risque. Il a été dit que les travailleurs médicaux travaillant déjà sur le terrain pourraient accepter de courir ce risque, mais cela parait improbable. Pour bien faire, ils devraient en effet accepter de ne pas se protéger. De toute façon, le temps nécessaire à ces tests sera beaucoup trop long pour que des enseignements utiles puissent en être tirés.

    Certains spécialistes persistent à penser que le protocole des tests ne doit en aucun cas être allégé ou supprimé. Mais d'autres considèrent aujourd'hui que le taux de mortalité est si important qu'il faudrait sans attendre vacciner le plus grand nombre possible de personnes, soit à partir des vaccins cités ci-dessus, soit à partir d'autres souches qui seront par ailleurs présentées (La Russie vient d'annoncer pouvoir disposer de 3 vaccins expérimentaux d'ici six mois). Et cela sans se préoccuper des risques, qui ne seront d'ailleurs pas plus élevés que ceux découlant du parti pris de ne rien faire.

    L'organisation mondiale de la Santé vient de se réunir en urgence
    le 5 septembre à Genève. Il y a été dit que pour bloquer l'épidémie, face au million de cas prévu à la fin de l'année, il faudrait plusieurs milliers de doses de vaccins (non testés) à cette date avant de commencer à agir. En fait, il en faudrait plusieurs millions, et davantage encore si l'on voulait vacciner des populations non encore en risque immédiat.

    Or, il ne suffit pas de décider d'une telle politique pour qu'elle devienne immédiatement applicable, et cela dans les délais de quelques semaines qui seraient nécessaires. Les grosses firmes pharmaceutiques, même abondamment subventionnées, ne pourraient pas fabriquer en temps utile les doses nécessaires. Si elles le pouvaient, manquerait alors le personnel de santé, ou les civils formés à cette fin, nécessaires aux opérations de vaccination sur le terrain. Et que se passerait-il, si les vaccins utilisés, comme certains anti-rétroviraux auxquels on pense par ailleurs, se révélaient finalement sans action. Et que se passerait-il si le virus mutait dans l'intervalle, en acquérant davantage de virulence, au lieu d'en perdre comme il avait semblé le faire lors des épidémies précédentes.

    Alors ne survivrait qu'une petite moitié de l'humanité, faite d'individu semblables à ceux qui, pour des raisons encore inconnues, survivent d'ores et déjà à l'infection. On voit que les économistes, qui, pour le moment, ne s'inquiètent que des pertes commerciales en provenance d'États africains de plus en plus paralysés par l'Ébola, sont loin du compte.

     

    votre commentaire
  •  

    2981173991_1_7_ikGk0grU
     
     

    Le commencement des douleurs...

     

    Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs. Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. Alors aussi plusieurs succomberont, et ils se trahiront, se haïront les uns les autres. Plusieurs faux prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. Et, parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé. Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. (Matthieu 24:6-14 LSG) - "Jésus-Christ"

     

    http://sdupeuple.blogspot.com/


    votre commentaire
  •  

     

     

     Traiter une personne comme un objet est la caractéristique de l’esclavage. »,

    Par François Py

     

    L’Akanksha Infertility Clinic en Inde. 100 femmes enceintes y portent un bébé qui n’est pas le leur. Elles n’ont pas le droit de sortir jusqu’à l’accouchement.

    Bonjour !

         Si M. Hollande ne réagit pas, l’esclavage des femmes et les bébés-marchandise seront à l’ordre du jour en France !

         En effet, l’État n’a pas l’intention de contester l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), du 26 juin 2014 qui a condamné notre pays pour avoir refusé de transcrire sur l’état civil les actes de naissance d’enfants nés par mères porteuses aux Etats-Unis.

          Le gouvernement pris en otage par le lobby homosexuel peut ainsi de facto instaurer d’une manière détournée mais bien réelle le principe de la « GPA pour tous ».

         Signez immédiatement ICI votre blâme à M. Hollande pour qu’ils’oppose à la condamnation de la France par Strasbourg, avant l’expiration du délai de saisine de la Grande Chambre de la CEDH, c’est à dire avant le 26 septembre 2014.

         Je compte sur vous plus que jamais.

         L’envoi de votre blâme vous permettra de rappeler au président de la République que s’il ne réagissait pas son gouvernement accorderait de facto sa faveur au plus nauséabond et odieux des marchés:

         LE MARCHÉ D’UTÉRUS qui fait de l’enfant une marchandise !

         L’affaire démontre l’hypocrisie du gouvernement.

         La loi française interdit la gestation pour autrui.

         La maternité pour autrui contrevient à une règle fortement enracinée dans notre droit de la filiation, fondée sur le vieil adage romain « mater semper certa est », en vertu de laquelle la mère est celle qui accouche.

         L’article 16-7 du Code civil dispose que : « Toute convention portant sur la procréation ou la gestation pour le compte d’autrui est nulle ». L’article 227-12 du Code pénal sanctionne « la provocation à l’abandon d’enfant, l’entremise en vue de l’adoption ou en vue de la gestation pour le compte d’autrui ». 

         La Cour de cassation a jugé à plusieurs reprises que la transcription en France des registres d’état civil étrangers des enfants nés d’une mère porteuse s’agit d’un achat d’un enfantévidemment contraire à l’ordre public et contrevient le principe de l’indisponibilité du corps  selon lequel le corps humain ne serait pas une chose pouvant faire l’objet d’un contrat ou d’une convention.

    Les arrêts rendus par la Cour de cassation le 13 septembre 2013confirment que la GPA est une « fraude à la loi » et qui, fut-elle licite à l’étranger, est nulle en droit français.

         Comme le dit Daniel Fesquelle, professeur de Droit, « la GPA est une forme de location du corps humain ». Me Claire de La Hougue a lancé à ce propos un cri d’alarme en déclarant: « Traiter une personne comme un objet est la caractéristique de l’esclavage. La gestation pour autrui entre donc clairement dans le cadre de la vente et la traite des enfants prohibées par le droit international. »

         Mais pour les socialistes, cela n’a aucune importance. 

         Alors s’il vous plaît :

         Signez et faites signer ICI par vos proches le blâmedestiné à M. Hollande « Halte au  marché de la honte ! »

         Par la voix du ministre de la Justice, Christiane Taubira, et du secrétaire d’Etat chargé de la famille, Laurence Rossignol, le gouvernement a affirmé que la France ne contesterait pas l’arrêt de la CEDH.

         « On ne touche pas à notre Code civil, mais par contre nous sommes attentifs à la situation des enfants », a déclaré Mme Taubira. « Le gouvernement tirera les conséquences de ces deux arrêts en droit interne », a ajouté Mme Rossignol.

         Jusqu’à présent, M. Hollande et son gouvernement ont joué la cachotterie de crainte d’être accusés d’encourager le recours à la GPA, voire d’ouvrir une brèche en faveur de l’autorisation des mères porteuses.

         « Si j’ouvrais cette question-là, avait indiqué le candidat François Hollande au magazine homosexuel « Têtu » en février 2012, ça pourrait être une facilité donnée à la gestation pour autrui ce débat devra avoir lieu, mais il ne doit en aucun cas être considéré comme une façon d’accepter la marchandisation des corps. »

         Bref, il ne s’agit pas d’autoriser la GPA en France… mais de reconnaître les enfants nés à l’étranger par GPA pour les besoins des Français… ce qui revient au même !

         En résumé, on dit « on ne touche pas à la loi » mais de facto  on encourage la transgression de la loi !

         Vous avez en cliquant ICI le moyen de réagir avec une force sûre d’elle, à condition de pas remettre à plus tard : vous voyez que l’adversaire, lui, va vite.

         Une fois de plus, la réalité est ahurissante : François Hollande et son équipe se comportent en otages du lobby LGBT.

         Hollande a foulé aux pieds une fois de plus la souveraineté nationale en faveur d’une instance européenne.  Ce n’est plus la loi française qui compte, mais ce que décident des juges d’autres traditions juridiques et d’autres pays manipulés par des lobbies qui décident à la place des tribunaux.

         Cet affolement du gouvernement, qui inquiète par son fanatisme, trahit une scandaleuse justification des pratiques homosexuelles, la négation de la loi naturelle et l’abrogation de la morale chrétienne.

         Permettez-moi de vous rappeler que la gestation pour autrui selon l’Eglise Catholique offense la dignité de l’enfant et son droit à être conçu, porté, mis au monde et éduqué par ses parents.

         Votre action aujourd’hui même est très importante. Cliquez sur le lien ci- dessous  sans attendre :

    http://petit.io/petition/avenir-de-la-culture/halte-au-marche-de-la-honte

         Avec votre aide, je peux mobiliser un grand nombre de personnes contre l’avènement de cette nouvelle forme d’esclavage.

         Vite, avant qu’il ne soit trop tard !

    Je compte sur vous.

    François Py

    Chargé de la communication d’Avenir de la Culture

    PS : Songez que nous pouvons mener une immense bataille contre la GPA sans quitter votre maison et GAGNER !

    Signez en cliquant ICI la pétition destiné à François Hollande « Halte au  marché de la honte ! »

    http://www.theoriedugenre.fr/?Qui-sommes-nous


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique