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    MA VIE EST PRÉSERVÉE

    Par David Wilkerson

    La Bible nous dit que Jacob a reçu une révélation incroyable grâce à une rencontre face à face avec Dieu: "Jacob appela ce lieu du nom de Peniel: car, dit-il, j'ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée.” (Genèse 32:30). Quelle était la circonstance entourant cette révélation? C’était le moment le plus bas et le plus effrayant dans la vie de Jacob. À l'époque, Jacob était pris entre deux forces puissantes: Laban, son beau-père en colère, Laban, et Ésaü, son frère hostile et aigri.

    Jacob avait travaillé plus de vingt ans pour Laban, qui l’avait trompé bien des fois. Enfin, Jacob en avait assez, et donc sans dire un mot à Laban, il prit sa famille et s'enfuit.

    Laban lança une chasse vers l'Est avec une petite armée, prête à tuer Jacob. Pourtant, ce n'est que lorsque Dieu mit en garde Laban dans un rêve de ne pas nuire Jacob que cet homme laisse aller son beau-fils. À peine Laban avait disparu, qu’Ésaü venait de l'ouest. Lui aussi dirigeait une petite armée de quelques 400 hommes, prêt à tuer son frère pour avoir usurpé son droit de naissance.

    Jacob faisait face à un désastre totale, convaincu qu'il était sur le point de tout perdre. Tout semblait être sans espoir, mais dans cette heure sombre, Jacob avait une rencontre avec Dieu comme jamais auparavant. Il lutta avec un ange que les savants considèrent étant le Seigneur lui-même.

    Maintenant pensez aussi à Job. Durant l’heure sombre de Job, Dieu lui apparut en un tourbillon. Et le Seigneur donna à cet homme une de ses plus grandes révélations comme tout être humain n’avait jamais vu.

    Dieu prit Job dans le cosmos, puis dans les profondeurs de la mer. Il le mena dans les secrets mêmes de la création. Et Job vit des choses qu’aucune personne n'avait jamais vu. Il fut exposé à la gloire et la majesté absolue de Dieu. Job émergea de cette expérience louant Dieu, en disant: "Je sais que tu peux tout faire, Seigneur. Je me repens pour avoir mis en doute ton jugement. Je vois que tout est sous ton contrôle et dirigé par ta grâce. Tu as eu un plan depuis le début, mais maintenant je t’ai vu en fait avec mes propres yeux." (voir Job 42:2-5)

    Quelque chose de merveilleux se produit lorsque nous faisons simplement confiance. Une paix entre en nous, qui nous permet de dire: “Peu importe ce qui s’ensuit de cette épreuve. Mon Dieu a tout sous contrôle. Je n'ai rien à craindre."


    Posted by David Wilkerson

    http://davidwilkersoninfrench.blogspot.com/2010/01/ma-vie-est-preservee.html

     


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     Délivré de la crainte !

     

    Par David Wilkerson

    L’économie des nations s’agite et s’effondre, et la crainte s’élève à l’échelle mondiale. Et maintenant, alors que se poursuit ce tremblement, nous sommes témoins que les paroles de Jésus sont en train de s’accomplir :

     « …Et sur la terre, une angoisse des nations… les hommes rendront l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre, car les puissances des cieux seront ébranlées. » ( Luc 21:25-26) Christ nous prévient : « Sans espérance en moi, des multitudes vont littéralement mourir de peur ! » Pour les disciples de Jésus, cependant, ceux qui croient dans les promesses de Dieu, de préserver ses enfants, il y a une glorieuse délivrance de toute crainte. En fait, tous ceux qui se placent sous la souveraineté de Christ n’ont plus jamais besoin de craindre, s’ils s’accrochent au secret suivant : la vraie délivrance de la crainte consiste à totalement abandonner sa vie dans les mains du Seigneur.

     S’abandonner aux bons soins de Dieu est un acte de foi. Cela signifie se placer complètement sous sa puissance, sa sagesse et sa miséricorde, pour être conduits et préservés selon sa volonté. Et, si nous agissons ainsi, le Dieu de l’univers promet d’être totalement  responsable pour nous nourrir, nous vêtir, nous abriter et pour garder notre cœur de tout mal.

     Jésus fournit l’exemple ultime de ce genre de sainte résignation en venant à la croix. Juste avant de rendre l’âme, il s’écria d’une voix forte : « … Père, je remets mon esprit entre tes mains… » (Luc 23:46)

     Christ plaça sa vie ainsi que son avenir éternel sous la garde du père. Et, en agissant ainsi, il plaça l’âme de chacune des brebis de son troupeau dans les mains du Père.  

    Vous pourriez vous demander : « Mais, Jésus n’a-t-il pas dit qu’il avait le pouvoir de donner sa vie, et celui de la reprendre ? » (voir Jean 10:18) Donc, s’il avait le «pouvoir de la reprendre » pourquoi a-t-il abandonné sa vie dans les mains de Dieu afin qu’il la garde ?  La réponse est évidente : Jésus le fit pour donner un exemple pour que toutes ses brebis puissent le suivre !

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    Dieu a le pouvoir, la sagesse, la volonté et
    L’amour pour préserver son peuple bien-aimé.
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    Si on nous demande de confier notre vie à quelqu’un, alors nous devons savoir si cette personne a le pouvoir de nous préserver de tout danger, de toute menace et de toute violence. Sinon, notre confiance est vaine. Dit plus simplement, notre Dieu doit avoir la sagesse et le pouvoir de nous guider aussi bien que de guider des multitudes au travers  des crises et des difficultés. Et il doit diriger son peuple dans l’amour.

    Or, si vous connaissez le Seigneur, vous savez que c’est son caractère.  Il est tout puissant, infiniment sage, et un ami qui est plus proche qu’un frère. En fait, il est la véritable essence de l’amour. L’apôtre Paul écrit : « …car je sais en qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour-là. » (2 Timothée 1:12)

    Paul est en train de dire : « J’ai remis ma vie dans les mains du Seigneur. Et je suis persuadé qu’il ne va  pas trahir ma confiance. Au contraire, il va fidèlement tenir sa promesse de me préserver, parce qu’il est à la fois capable et désireux de le faire. Voilà ce qu’a été mon expérience avec le Seigneur ! »

    Aujourd’hui, alors que les nuages d’orage s’assemblent autour de notre nation, notre choix est clair : nous pouvons soit remettre notre vie dans les mains du Seigneur, soit être responsables de notre garde et de notre préservation, une tâche qui est impossible quand Dieu ébranle toutes choses !

    Le fait que notre paix et notre contentement dépendent toujours de notre abandon dans les mains de Dieu, peu importent les circonstances. Le psalmiste écrit : « Fais de l’Eternel tes délices, et il te donnera  ce que ton cœur  désire. » (Psaume 37:4)_____________________________
    Si vous abandonnez pleinement entre les mains de Dieu,
    alors  vous serez capables d’endurer Chacune et Toutes les épreuves.
    ____________________________

    Peu importe quelle calamité vous assaille, vous savez qu’elle ne peut nuire à votre âme parce que vous êtes caché dans les mains de votre Père. Il désire que vous soyez capable de vaquer à vos occupations quotidiennes, sans crainte ou anxiété, ayant totalement confiance en son bon soin. Et, votre abandon produit un effet très pratique dans votre vie. Plus vous vous abandonnez au soin et à la garde de Dieu, plus vous deviendrez indifférent aux conditions qui vous entourent.

    Si vous vous êtes abandonné entre ses mains, vous ne serez plus constamment en train de deviner quelle est la prochaine étape. Vous ne serez même pas apeuré par les nouvelles effrayantes tourbillonnant autour de vous. Vous ne serez pas submergé lorsque vous penserez aux jours qui sont devant vous, parce que vous avez confié votre vie, votre famille et votre futur entre les mains sécurisantes et aimantes de votre Seigneur.

    Je vous pose cette question : Pensez-vous que les brebis sont inquiètes ou soucieuses quand elles suivent leurs bergers vers les pâturages ? Elles ne sont pas craintives du tout, parce qu’elles sont totalement résignées à sa direction. De même, nous sommes le troupeau de Christ, qui est notre grand Berger. Alors, pourquoi devrions-nous être soucieux, inquiets ou craintifs à propos de notre vie et de notre futur ?  Il sait parfaitement comment protéger et préserver son troupeau parce qu’il nous conduit dans l’amour !_____________________________
    Comment s’accomplit notre abandon
    Dans les mains de Dieu ?
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    Nous voyons dans la Bible que quiconque s’engage dans cette marche d’abandon de soi, il le fait seulement avec un grand sérieux dans ses pensées. Il est aisé pour les chrétiens d’aujourd’hui de dire : « Que la volonté du Seigneur soit faite. », d’une manière générale. Mais, c’est autre chose d’entièrement différent de nous abandonner dans les mains du Seigneur, pour une circonstance précise.

    Dans ma propre vie, j’ai du apprendre à faire confiance à Dieu pour un problème à la fois. Pensez à ceci : comment puis-je dire que je fais confiance à Dieu pour toutes choses, si je n’ai pas prouvé que je pouvais lui faire confiance pour une chose ? Dire simplement les mots : « Je fais complètement confiance au Seigneur » n’est pas suffisant. Je dois le prouver encore et encore dans ma vie, dans de nombreux domaines et dans les choses de chaque jour.

    De plus, notre abandon dans les mains du Seigneur ne peut être forcé. Ce doit être un abandon libre et volontaire. Il existe plusieurs exemples bibliques de personnes qui ont échoué dans ce domaine. Considérez le pharaon d’Egypte : c’est seulement quand il ne put tenir plus longtemps contre les plaies de Dieu, qu’il décida de laisser Israël entreprendre son voyage dans le désert.

    De même, de nos jours, de nombreuses personnes ont dit : « J’abandonne, je m’engage, je fais confiance » seulement après avoir constaté qu’il n’y avait pas d’autre issue à leur situation. Mais le vrai abandon, celui qui est agréable à Dieu, doit être fait librement et volontairement, avant que l’on arrive à ne plus savoir que faire. Nous devons agir en alliance avec le Seigneur, comme Abraham donna sa vie à Dieu, telle un chèque en blanc, et laissant Dieu le remplir.

    Dieu n’acceptera rien de moins que notre tout dans ce domaine. Si nous lui abandonnons notre vie seulement de la moitié du cœur, avec réserve, nous sommes aussi coupables qu’Ananias et Saphira. Ils ont prétendu avoir donné leur tout au Seigneur, mais en réalité, ils en avaient retenu une partie, et ils payèrent de leurs vies. En résumé, notre abandon à Dieu doit être sans condition. Il ne peut y avoir aucun accord, ni aucune restriction placé devant notre Seigneur ; nous devons abandonner tout contrôle entre ses mains.

    Donc, en nous remettant entièrement entre les mains de Dieu, nous abandonnons toutes nos propres pensées, nos voies et nos désirs et nous nous soumettons totalement à sa sagesse et à sa vérité. Un tel abandon est par nature une œuvre quotidienne et continue. Il ne peut être réalisé une fois pour toute. Dieu voit au travers de toutes nos soumissions temporaires dans les moments de détresse, et au travers de toute obéissance simulée.

    Bien que le psalmiste dise que nous devons faire confiance à Dieu en tout temps, notre chair orgueilleuse désire toujours garder le contrôle sur nos propres vies. Elle essaie constamment de nous convaincre que nous pouvons nous préserver nous-mêmes par notre propre intelligence. Et donc, au moment où nous nous abandonnons totalement au Seigneur, notre chair élève sa volonté obstinée et nous découvrons rapidement combien notre cœur est déterminé à suivre ses propres voies.   _____________________________
    Nous remettre totalement à Dieu dans une pleine
    Dépendance est l’une des choses les plus difficiles
    Que nous, chrétiens, devons faire dans la vie.
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    Un abandon total à Dieu est une tâche impossible qui ne peut être accomplie que par la foi. Cependant, une fois que nous avons réalisé cet abandon au Seigneur, aucune difficulté ne peut mous atteindre. Notre foi dans notre berger nous portera, âme et corps, au travers de toutes les épreuves, les découragements et les impossibilités naturelles.

    Nous devons être conscients, toutefois, qu’une fois que nous avons pris cet engagement, nous avons déclenché un signal d’alarme en enfer. Une fois qu’un chrétien résigné abandonne tout contrôle au Seigneur, plaçant tous les domaines de sa vie dans les mains de Dieu, Satan s’élèvera pour s’opposer à lui avec férocité.

    Considérez ce qui se passa avec Paul : tant qu’il suivait sa voie de pharisien, loin de la volonté de Dieu, il ne connaissait aucune opposition de l’ennemi. Or, quand il plaça totalement sa vie sous la conduite de Dieu, il fut frappé et attaqué sans relâche.

    De même, bien-aimés, si vous abandonnez tout à Dieu, vous serez férocement opposé par toutes les puissances des ténèbres.  Satan érigera des montagnes de conditions effrayantes devant vous, pour essayer de vous mener à l’incrédulité. Il envahira votre esprit et votre cœur de doutes et de craintes qui ne vous sont jamais venus en tête avant. Sa stratégie est de simplement tourner votre attention sur « combien difficiles les choses vont devenir pour vous » plutôt que sur les promesses de Dieu de vous garder au travers de toute crise.

    J’ai souvent ressenti ce combat au cours de mes années de ministère. Quand des temps difficiles sont venus, des doutes se sont amassés dans mon cœur et m’ont murmuré, de façon accusatrice : « Bien, David, que vas-tu faire maintenant ?  Comment vas-tu être gardé au travers de cette crise ? Quel est ton plan pour ta survie ? »

    Satan fera tout ce qu’il peut pour vous détourner de Jésus ! Cependant, nous savons d’après les Ecritures, que ce genre de tentation est l’expérience de tous ceux qui s’engagent à suivre Christ.  

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    La crainte surviendra inévitablement sur vous
    Quand l’orage frappera.
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    Les prophètes bibliques nous préviennent que quand nous verrons Dieu agiter les nations, et que quand des temps périlleux nous frapperont, notre homme naturel connaîtra de grandes frayeurs. Ezéchiel demanda : « Ton cœur sera-t-il ferme, tes mains auront-elles de la force dans les jours où j’agirai contre toi ? » ( Ezéchiel 22 :14)

    Quand Dieu avertit Noé de son jugement prochain et lui dit de construire une arche, Noé fut « saisi d’une pieuse crainte » (Hébreux 11 :7) Même le courageux et téméraire David dit : «  Ma chair frissonne de la peur que tu m’inspires, et j’ai la crainte de tes jugements. » (Psaume 119:120) Et quand le prophète Habakuk vit les jours désastreux à venir, il s’écria : « J’ai entendu, et mes entrailles ont frémi. A ce bruit mes lèvres ont tremblé ; mes os se dissolvent, et sans bouger je frémis d’attendre le jour de la détresse… » (Habakuk 3:16)

    Veuillez noter en lisant ces passages : la crainte qui survint sur ces hommes pieux n’était pas une crainte de la chair, mais une crainte respectueuse de Dieu.  Ces saints n’étaient pas effrayés par l’ennemi de leurs âmes mais ils craignaient les justes jugements de Dieu. Et cela parce qu’ils comprenaient l’étonnante puissance derrière les calamités imminentes. Ils n’avaient pas peur de la venue de l’orage mais plutôt de la sainteté de Dieu !

    De même, chacun d’entre nous expérimentera cette crainte écrasante au moment des temps de destruction et de désastre. Mais notre crainte doit venir d’un saint respect du Seigneur, et jamais d’une anxiété de la chair concernant notre sort. Dieu méprise toute crainte pécheresse en nous, la crainte de perdre des biens matériels, notre bien-être, notre critère de vie.  

    Partout dans le monde actuel, des gens sont remplis de ce genre de crainte, en voyant l’économie de leur nation se détériorer. Ils ont peur qu’une inondation économique balaie tout ce pour lequel ils ont travaillé toute leur vie. Et ils disent : « Toute ma sueur, tous mes efforts pour construire ce bien et pour préparer l’avenir vont être ruinés. Je vais devoir vivre dans la pauvreté ! »

    Tel est le cri des incroyants qui n’ont aucune espérance. Il ne doit pas être le cri des croyants. En effet, si vous êtes un enfant de Dieu, votre Père céleste ne supportera pas une telle incrédulité de votre part. Esaïe prévint : « Qui es-tu, pour avoir peur de l’homme mortel, du fils d’Adam, dont le sort est celui de l’herbe ? Et tu oublierais l’Eternel, qui t’a fait…et tu serais dans une frayeur continuelle, tout le jour devant la fureur de l’oppresseur… » (Esaïe 51:12-13). «  C’est l’Eternel des armées que vous devez sanctifier, c’est lui que vous devez craindre, c’est lui que vous devez redouter. » (8:13)

    Laissez l’Eternel être celui que vous devez craindre et redouter. Ce genre de crainte ne conduit pas à la mort, mais à la vie !

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    A l’heure actuelle, l’Amérique est remplie
    De personnes qui pensent qu’aucune
    Calamité  pénible ne va les atteindre.
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    Tout au long de l’histoire, des personnes ont pensé qu’elles pouvaient surmonter toute calamité sans foi en Dieu. Le prophète Esaïe  écrit  que de tels moqueurs se vantent de ce que « Quand le fléau débordant passera il ne nous atteindra pas. » (Esaïe 28 :15). Esaïe dit que ces personnes sont spirituellement aveugles : « Eternel, ta main est si haute qu’ils ne l’aperçoivent pas. » (26:11) En d’autres mots, ils n’attribuent aucune calamité à l’œuvre de Dieu. Au contraire, ils agissent comme s’il n’y avait pas du tout de Dieu dans le ciel qui puisse accréditer leur incroyance. De nombreux railleurs en Amérique aujourd’hui pensent que leur aisance les sauvera de tout désastre. Mais la parole de Dieu dit en termes certains que quand Il commencera divinement à  tout secouer, le riche incroyant verra ses biens comme inutiles :  

    « En ce jour, l’être humain jettera ses faux dieux d’argent et ses faux dieux d’or, qu’il s’était fait pour se prosterner devant eux, aux rats et aux chauves-souris ; On entrera dans les fentes des rochers et dans les creux des rocs, loin de la terreur de l’Eternel, de l’éclat de sa majesté,  quand  il se lèvera pour épouvanter la terre. » (2:20-21)

    D’autres railleurs peuvent dire : « Pourquoi toute cette inquiétude et ce soucis ? Les choses continuent comme elles l’ont toujours fait depuis le commencement de l’humanité. Les calamités dont venues et sont reparties, mais nous avons toujours survécus. L’économie peut sombrer, les empires peuvent s’effondrer, mais la vie continue. »

    « Nous ne pouvons pas écouter tous ces prophètes de ruine, ils ont annoncé les mêmes choses depuis des siècles. Le monde n’est pas à sa fin, comme ils ont souvent dit que cela arriverait. Les mauvais moments ont toujours ouvert la voie aux bons moments. Nous devons juste apprécier la vie quand c’est possible. »

    Il est vrai que les prophètes de Dieu ont prononcé des avertissements dans chaque génération. Mais l’histoire a prouvé que Dieu a toujours envoyé ses jugements au moment opportun. Owen, le grand prédicateur puritain, donna le message suivant à sa congrégation le 9 Avril 1680 :

    « Vous savez que depuis des années, sans faille, je vous ai continuellement averti de l’approche d’un temps de calamités, et j’ai étudié les péchés qui en ont été la cause…Je vous ai dit que ce jugement débuterait dans la maison de Dieu ; que Dieu semble avoir endurci votre cœur concernant sa crainte…et qu’aucun d’entre vous ne sait de quoi sa colère sera faite. Dans toutes ces choses je vous ai annoncé des temps périlleux, pénibles…ceux-ci sont actuellement à notre porte et ils entrent pour nous submerger. »

     Aujourd’hui, des railleurs pourraient lire ces mots de Owen et dire : «  Ceci prouve mon point de vue ! Voici un prédicateur de la ruine d’il y a trois cent ans qui essayait d’effrayer la société. Mais le monde a continué malgré tout ce qu’il a dit. Les choses se sont passées comme d’habitude. »

    Ce que de tels railleurs ne reconnaissent pas c’est que Dieu a envoyé ses terribles jugements sur cette société. John Owen a vécu assez longtemps pour pleurer sur un holocauste de feu qui enflamma Londres et détruisit cette grande ville. En fait, il a vu l’accomplissement de chacune de ses puissantes prophéties, guerres, destruction, économies ravagées, dépression nationale, maladies qui détruisent des multitudes de personnes indifférentes et insouciantes.

    Cependant, avant de voir une seule de ses calamités prendre place, Owen annonça fidèlement depuis son pupitre : « Je vais vous montrer comment nous devons nous conduire dans et sous les pénibles calamités qui s’abattent sur nous, et qui peuvent nous atteindre au cou. »

    Bien-aimés, nous vivons les mêmes temps qu’Owen. Dans des temps comme ceux-ci, il n’existe qu’une seule réponse à l’holocauste financier proche. « Le juste vivra par la foi ! » Owen exhortait son peuple avec des larmes : « Faîtes-vous une arche, préparez une arche pour votre salut pour vous et pour vos familles. » Ensuite, il ajouta :  

    « Cette arche est Jésus Christ. Il n’y a pas d’autre voie, pas d’autre arche car Esaïe, le prophète, dit de notre Seigneur : « Et un homme [ Christ ] sera comme un abri contre le vent, et un refuge contre la tempête, comme des courants d’eau dans un lieu desséché, comme l’ombre d’un roc massif dans une terre épuisée. »

    " Voici notre arche, heureux ceux qui ont seulement confiance en elle… Je ne connais aucune sécurité, aucune délivrance, dans les combats et les afflictions survenant sur la terre, autrement qu’en croyant dans Christ comme notre seul refuge. "

    _____________________________
    Seigneur, donne-nous des yeux spirituels
    Pour voir tes murailles de feu autour du
    Sion spirituel, gardant et préservant tous
    Ceux qui s’abandonnent entre Tes mains !
    _____________________________

    Nous pouvons voir des dangers de tous les côtés, y compris le diable et ses principautés qui désirent jeter des doutes dans notre foi. Mais nous avons une ardente garde d’anges nous entourant et un Dieu qui a fait le serment de nous porter au travers de tout désastre que nous pourrions affronter.

    Alors laissez-moi vous demander si vous voulez affronter la tempête à venir avec une calme assurance et une paix de l’esprit ? Donc, mourrez dès aujourd’hui à toutes vos anciennes voies et à vos moyens de vous sauver vous-mêmes. Et engagez-vous à remettre totalement votre vie dans les bons soins de Dieu. Il est le bon Berger qui vous aime, et Il est fidèle pour vous faire traverser tout cela !

    Sermon du 26 octobre 1998

    (Traduit par Marie-Jo Texeira)

     http://www.topchretien.com/topmessages/?/87/delivre-de-la-crainte

     


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    VOTRE COMBAT EST CELUI DE L’ÉTERNEL.

    (voir 2 Chroniques 20:15)

    La raison pour laquelle je suis en train d'écrire ceci est pour vous rappeler que le combat auquel vous faites face n'est pas le vôtre, mais celui de Dieu. Si vous êtes un de ses enfants, vous pouvez être certain que Satan "va se déchaîner contre vous.”
     
    Dans 2 Chroniques 20, une grande multitude s’était mise contre le peuple de Dieu. Le roi Josaphat et son peuple voulaient absolument rechercher le Seigneur et jeûner. Le roi s’écria à Dieu une prière que la plupart d'entre nous ont prié parfois dans notre trajet spirituel: “Car nous sommes sans force devant cette multitude nombreuse qui s'avance contre nous, et nous ne savons que faire, mais nos yeux sont sur toi.” (20:12) "Alors l'esprit de l'Éternel saisit au milieu de l'assemblée … Ainsi vous parle l'Éternel: Ne craignez point et ne vous effrayez point … car ce ne sera pas vous qui combattrez, ce sera Dieu. (20:14-15)
     
    Ésaïe donna cet avertissement à toutes les forces sataniques: "Qui as-tu insulté et outragé? Contre qui as-tu élevé la voix? Tu as porté tes yeux en haut sur le Saint d'Israël.” (Ésaïe 37:23)
     
    Dieu dit à son peuple Israël, et il nous dit aujourd'hui: "Le combat n'est pas contre vous. C’est la rage de Satan contre moi, le Seigneur qui demeure en vous. "Dieu dit à Satan: “Mais je sais quand tu t'assieds, quand tu sors et quand tu entres, et quand tu es furieux contre moi.” (37:28)
     
    Je vous pose la question: où est votre combat? Dans votre mariage? Vos affaires ou votre emploi? Vos finances? Votre santé? Est-ce que votre combat s’intensifie jour après jour? Si vous avez un cœur pour Jésus et un désir de s’accrocher à lui, vous allez faire face à la rage de l'enfer. Mais ce n'est toujours pas votre combat.
     
    Vous pouvez rapidement mettre fin à votre combat si vous choisissez—simplement en quittant et en cédant à vos peurs et vos doutes. Satan ne dérangera pas ceux qui renoncent à leur confiance dans le Seigneur.
     
    Oui, le combat est celui du Seigneur, mais nous avons une part—et c'est de faire confiance et de croire à ses promesses en dépit du désespoir et de ce qui paraît être impossible." Pourquoi dis-tu, Jacob, Pourquoi dis-tu, Israël: Ma destinée est cachée devant l'Éternel, Mon droit passe inaperçu devant mon Dieu? " (Ésaïe 40:27)
     
    La foi exige que je remette tous mes problèmes—toutes mes situations critiques, toutes mes peurs, toutes mes angoisses—dans la main de l'Éternel. Quand j’ai fait tout ce que je peux faire, et je sais que mon combat est au-delà de mon pouvoir, je dois soumettre tout dans ses mains.
     
    Notre Seigneur connaît la rage de Satan, et nous devons vraiment croire qu'il va agir. Il va nous protéger durant les inondations et les incendies et il chassera tous les esprits ennemis. Voici la Parole de Dieu concernant ce qu’il va faire: “Parce que tu es furieux contre moi, et que ton arrogance est montée à mes oreilles, je mettrai ma boucle à tes narines et mon mors entre tes lèvres, et je te ferai retourner par le chemin par lequel tu es venu.” (Ésaïe 37:29)
     
    Si vous tenez fermement à votre foi—lui faisant confiance, s’appuyant sur ses promesses, rejetant tous les mensonges de Satan entrant dans votre esprit—alors attendez-vous à ce que Dieu arrive par son Esprit dans votre situation et mette une fin attendue à votre combat spécifique. Il remuera ciel et terre pour vous délivrer et tracer un chemin. La solution est de faire confiance, confiance, confiance! "C'est lui qui a fait cesser les combats." (Psaume 46:9)

     


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    Ma délivrance de la dépravation sexuelle



    " Défrichez-vous un champ nouveau !!! " Jér 3:3
    Mes parents, mon frère et ma sœur et moi fréquentions une église protestante. J’ai donc grandi avec une certaine connaissance de Dieu. Mais il s'est passé une chose étrange alors que j'avais 3 ans. J'avais l'habitude de rester dans une famille amie, en attendant le retour de ma mère qui faisait le ménage pour subvenir à la maigre bourse de mon père. A cette époque, mon père demeurait en France pour poursuivre des études supérieures. Je suivais avec des enfants de mon âge des émissions télévisées ;


    deux émissions attirèrent mon attention, je ne savais pas que c'était deux portes, soit deux semences que Satan plantaient en moi.

    D'abord, une série télévisée dans laquelle une petite fille, avec des pouvoirs surhumains, déplaçait à volonté des objets dans la maison où elle vivait avec son petit frère mais aussi l'endormait avec ses pouvoirs.

    Puis, une émission télévisée qui terminait par le strip-tease d’un homme.

    Je signale que ces programmes passaient entre 16 et 18h , soit entre l'heure du goûter et le soir avant le retour de mes parents. Ainsi j'enregistrais dans mon inconscient des désirs (passions) pour la magie et le physique masculin qui m'ont conduit à mon insue vers l’homosexualité.
    A la même époque, mon état de santé se dégradait au fur et à mesure que je grandissais, à cause de problèmes respiratoires. Je me rendais souvent à l’hôpital.


    Un jour, je me rappelle que je me masturbais, (car les strip-tease que je regardais avaient éveillé en moi ma libido e(t surtout que c’était l’âge que l'on appelle stade phallique dans le développement psychosexuel en psychologie), ma satisfaction étant accomplie, mon père me réveilla pour m'emmener ensuite à l’hôpital.
    Je devais être hospitalisé à cause d'une aggravation de ma bronchite qui tendait vers une tuberculose. Une semaine après je sortais de l’hôpital, mais j'avais acquis l'habitude de me satisfaire, je continuais donc ainsi. Peu avant cela déjà je tombais amoureux d'un garçon de ma classe. J’étais en maternelle.



    Nous avons quitté Nancy, ma ville de naissance, pour Kinshasa, car mon père avait obtenu son doctorat, raison pour laquelle il était en France. J'entrais dans une école primaire où, curieusement, je ne sais si c’était un jeu, les jeunes garçons se dénudaient les fesses ou même montraient une partie de leurs sous-vêtements. Mes sentiments tournés vers les garçons grandissaient de jour en jour. De manière automatique, je devenais efféminé car depuis la France, je restais la plupart de mes après-midis avec des filles.

    Personne ne m'avait corrigé pour cela dans mon entourage familial. A l’école, j’ai été réprimandé mais comme à la maison je ne l’étais pas, je continuais de grandir ainsi jusqu’à 11 ans où, après avoir lu la brochure chrétienne "Connaissez-vous les 4 lois spirituelles ? ", je me suis rendu compte de mon état de péché et j'ai invité le Seigneur Jésus comme Sauveur et Seigneur de ma vie.

    La même année ma mère tombait enceinte et dans la même époque, mon père prenait une deuxième femme, chose très douloureuse car il ne restait plus souvent à la maison et ma mère souffrait beaucoup et me faisait part de ses soucis ; chose que je considère qu'elle n'aurait pas dû faire.

    Dès lors, je considérais mon père comme méchant et j'allais même jusqu’à me dire en moi-même que j’étais un orphelin ; désormais mon papa était mort.

    Moi qui venait de recevoir Christ, ma blessure dans l’âme, je reprenais petit a petit mes habitudes de masturbation pour me soulager et mes désirs homosexuels aussi.
    Je menais donc une vie chrétienne en dents de scie, car à chaque fois que tout allait bien je suivais Christ mais lorsque ça n’allait plus, je tombais dans le péché .


    Ma classe de 6ème terminée, j'entrais au secondaire dans un collège de garçons. Cela a encore animé en moi cette envie charnelle des autres adolescents que je voyais.
    En 94, nous avons déménagé pour un coin reculé de Bandal où nous étions alors, dans un chantier que nous habitons toujours. Ainsi mon biotope changeait. Je voulais changer de vie, je fréquentais l’église de plus en plus ainsi qu’une cellule de prière de ma paroisse.
    Je me suis fait baptiser car je voulais vraiment témoigner de mon amour pour Jésus et par surcroît, ma conscience m’aidant, arrêter de faire le mal qui était attaché à moi.


    Ainsi je croyais que j’arrêterais de me masturber mais ça continuait et donc destabilisait sans cesse ma vie chrétienne. J'entrai dans une commission d'intercession dans ma paroisse ; j'y ai appris que des péchés s'attachaient à nous et devenaient des liens démoniaques qu’il fallait couper ; mais n'ayant pas avoué ma faiblesse, par honte, je ne disais rien et voulais de moi-même me libérer des chaînes. Mais la situation empirait. Je quittais alors la commission car je ne me sentais pas digne d’entrer dans la présence de Dieu et d’intercéder en faveur des autres.


    En parallèle, la vie familiale ne s'arrangeait guère, la misère frappait à nos portes, tout était insoutenable. Déjà depuis quelques années, précisément en 1997, je me faisais l’idée de partir étudier en France, où ma sœur était retournée pour continuer ses études parce que je me disais que je ne vivrais plus les souffrances dans la famille.


    En 2000 alors que je me retrouvais encore à Kinshasa, j'entrais à l’Université malgré moi. Je quittais cet endroit trois mois plus tard, l'assurance que le Dieu que je priais, surtout seulement parce qu’Il pouvait me faire voyager, ferait un miracle. Mes tentatives échouèrent et donc ma Foi en ce Dieu n’avait plus beaucoup d’importance car Il venait de me décevoir.
    Ayant aussi découvert Internet à la même année, je souhaitais trouver par Internet des amis, mais aussi une personne qui m'aiderait, un bon samaritain qui accepterait de me prendre en charge.

    Un jour, en réponse à une annonce sur un site de rencontres, j'ai fait la connaissance d'un homme qui portait le prénom du garçon dont j’étais amoureux lorsque j'avais 3 ans (à ce moment là, j'en avais 20), il me paraissait gentil mais très vite, je me suis rendu compte qu'il voulait une relation plus intime. J’arrêtai illico cette relation, mais avec le sentiment de laisser tomber cette occasion de partir en France avec l'aide de cet homme car il avait les moyens nécessaires pour le faire.
    D'une part, je savais que si je n’arrêtais pas de désirer des hommes, Dieu ne pouvait pas intervenir dans ma vie ; c’était une montagne énorme qui empêchait Dieu de me bénir dans tout ce que j’entreprenais.
    En Août 2001, je trouvais alors un job dans le centre ville. Parallèlement, cet homme à qui j’avais envoyé un mail pour qu’il me laisse tranquille, m’écrivait encore pour me dire combien je lui manquais. Satan a travaillé ma conscience, m’oppressant chaque jour, me faisant voir que quelqu'un m'aimait mais aussi que cette personne avait les moyens de me faire arriver dans le pays dans lequel je rêvais d’aller. Mais moi qui avait besoin de tant d'amour et d'affection je lui refusais mon amour ; je décidais alors de le garder comme ami seulement, rien de plus . Et il a continué à me montrer combien il serait bénéfique pour moi de vivre avec lui, parce que même si ma famille, après avoir appris que j’étais homosexuel , refusait de subvenir à mes besoins, lui, il le ferait. Et surtout, je serais libre de vivre ma vie comme je le voulais.


    Le 22 décembre 2001, alors que petit à petit ma Foi tombait en lambeaux, je rencontrais un garçon que j'avais croisé auparavant sur le campus. J'éprouvais des sentiments pas très corrects pour lui. Je m’étais résigner à lui avouer. Il me livra au cours d'une conversation qu'il connaissait des homosexuels. J'avais le désir de les connaître moi aussi mais ma foi chrétienne me l'interdisait. Toutefois, j'étouffais la voix du Saint-Esprit qui me demandait de ne pas entrer en contact avec eux, je préférais écouter la voix qui me disait : « Vas-y, d’ailleurs ta foi t’a fait manquer beaucoup de bonnes choses dans ta jeunesse, et d’ailleurs malgré toutes tes prières, tu n’arriveras pas à te défaire de ton homosexualité, vis ta vie ».

    Alors, j'entrais en contact avec l’un d’eux qui me fit entrer dans la communauté. Tous travaillaient et la plupart se prostituaient ; ils fréquentaient des boîtes, des terrasses le week-end ; moi aussi, je m'y suis accoutumé en allant d'un garçon à un autre. Je me félicitais de changer de partenaires avec qui je ne me protégeais même pas, parce qu'ayant perdu une cousine à cause du Sida et comme nous avions habitude d'enlever des chiques avec des objets tranchants non stérilisés, Satan m’avait fait croire que j’étais déjà atteint et que je n’avais pas à me protéger, et tant pis pour ceux avec qui je sortais car, pour moi, je le savais bien, nous étions pécheurs, et avions choisi de vivre rebelles à Dieu et quoi qu’il nous arrive, nous étions responsables.



    Petit à petit, la déception de mes relations qui se brisaient m’a poussé à rechercher un réconfort, je savais que si je revenais à Dieu, je devrais arrêter de vivre en tant qu’homosexuel. Cette solution ne me convenait pas alors j'ai commencé à pratiquer le yoga. Je me suis vite rendu compte que c'était vain. Je me suis alors intéressé au Satanisme, car je savais que même si je devais m’en détourner un jour, Dieu était capable de m’en tirer comme il l'avait fait pour Elaine dans l’histoire racontée par Rebecca Brown dans «Il est venu libérer les captifs» (livre que j’avais déjà lu et qui m’avait poussé à devenir intercesseur).

    J'ai d'abord fréquenté la "Church of Satan" et ensuite celle du "Temple of Seth" car j'avais bien lu une phrase qui caractérisait leur pensée, que «ma volonté soit faite» et non «que ta volonté soit faite» comme disaient les chrétiens (celle de faire ce que je veux faire en comptant sur mes pouvoirs psychiques et sur la magie noire qui était utilisée dans ces églises).

    Mais frustré par le fait que je devais verser de l'argent que je n'avais pas pour adhérer à la Church of Satan, je trouvai une branche du New Age à laquelle je voulais adhérer mais il m'avait été dit par le Maître que je devrais arrêter ma vie d’homosexuel qui me dégradait spirituellement ; comme je voulais être fort spirituellement, cela mettrait beaucoup d’embûches sur ma route.


    Je réfutais d’un bloc ses conseils mais j'ai quand même essayé de suivre ses principes pour pratiquer des voyages astraux : une fois, en dehors de mon corps, j'ai rencontré une sorcière qui m'a fait tellement peur que je suis revenu dans mon corps.

    Je tombais malade la même semaine d'une grippe. Alité, rempli de frustration et de peur, je me suis rendu compte à quel point je m’étais détourné des voies de Dieu et que Satan détruisait ma vie...
    J'ai alors décidé, le 30 décembre 2002, 12 mois plus tard, de retourner auprès de Dieu qui m’a accueilli dans ses bras avec amour et qui m’a remis sur le droit Chemin : le Chemin de la Vie, en Jésus-Christ et, tout ce que j’avais perdu, ce que je croyais avoir reçu en bénéfice de ma vie sans lui : amour, affection, bonheur, argent, Dieu me l’a donné et beaucoup plus encore.
    C’est alors que j’ai compris ceci : Dieu a créé l’homme pour que celui-ci L’adore, c’est-à-dire vivre pour Lui et Lui tout seul !

    Est-ce que c'est ton cas ??

    Que Dieu vous bénisse !

    Source: http://www.abmci.org


    Auteur : Inconnu


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    LA FONDEMENT DE LA FOI

    Sur quel fondement repose votre foi? L’Écriture nous dit la foi vient par l'ouïe, et que la Parole de Dieu nous donne des "oreilles spirituelles”, ce qui nous permet d'entendre (voir Romains 10:17). Eh bien, voici ce que la Bible dit à propos des experiences dans le désert durant notre vie:

    •Que les flots ne m'inondent plus, Que l'abîme ne m'engloutisse pas, … Exauce-moi, Éternel! car ta bonté est immense. …et ne cache pas ta face à ton serviteur! Puisque je suis dans la détresse.(Psaume 69:15-17). Il est clair que les eaux d'afflictions inondent la vie des gens pieux.

    •Car tu nous as éprouvés, ô Dieu! Tu nous as fait passer au creuset comme l'argent. Tu nous as amenés dans le filet, Tu as mis sur nos reins un pesant fardeau, … Nous avons passé par le feu et par l'eau.(66:10-12). Qui nous amène dans un filet d'afflictions? Dieu lui-même.

    •“Avant d'avoir été humilié, je m'égarais; Maintenant j'observe ta parole.… Il m'est bon d'être humilié, Afin que j'apprenne tes statuts." (119:67,71). Ces versets clarifient ceci parfaitement. C'est bénéfique pour nous—ceci meme nous bénit—d’être affligé.

    Considérez le témoignage du Psalmiste: “J'aime l'Éternel, car il entend Ma voix, mes supplications; … Les liens de la mort m'avaient environné, et les angoisses du sépulcre m'avaient saisi; j'étais en proie à la détresse et à la douleur. Mais j'invoquerai le nom de l'Éternel: O Éternel, sauve mon âme!" (Psaume 116:1-4). Voici un fidèle serviteur qui aimait Dieu et avait une grande foi. Pourtant, il faisait face aux douleurs, à la détressel et la mort.

    Nous retrouvons ce thème à travers toute la Bible. La Parole de Dieu déclare haut et fort que la voie vers la foi est parsemée d’inondations et d’incendies: "Tu te frayas un chemin par la mer, Un sentier par les grandes eaux.” (Psaume 77:19). "Voici, je vais faire une chose nouvelle, sur le point d'arriver: … Je mettrai un chemin dans le désert, Et des fleuves dans la solitude." (Ésaïe 43:19). Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; Et les fleuves, ils ne te submergeront point; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t'embrasera pas.(Ésaïe 43:2). “Car je suis l'Éternel, ton Dieu, Qui fortifie ta droite, Qui te dis: Ne crains rien, Je viens à ton secours.” (Ésaïe 41:13).

    Ce dernier verset contient une clé importante: Dans tout désert auquel nous faisons face, notre Père tient notre main. Pourtant, seuls ceux qui traversent le désert reçoivent cette main de confort. Il la tend à ceux qui sont pris dans les rivières de détresse turbulentes.

    Par David Wilkerson


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