• 29/03/2011 : La Chine, le Brésil et l'Inde, nouvelles puissances scientifiques



    "Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin." [Matthieu 24:14.] Mais quel est cet évangile dont Jésus-Christ parle ?


    La Chine s'est propulsée en l'espace d'une dizaine d'années au deuxième rang pour le nombre d'articles publiés dans les revues scientifiques internationales, derrière les Etats-Unis, selon un rapport de la Royal Society publié lundi à Londres. La plupart des pays occidentaux figurant dans le palmarès des dix premiers voient leur part des publications baisser, au profit de pays émergents comme la Chine, le Brésil, l'Inde, et plus loin derrière, l'Iran, la Tunisie et la Turquie.

    La Chine est passée du sixième rang pour le nombre d'articles publiés sur la période 1999-2003 (4,4 % du total) au deuxième rang, avec 10,2 % du total sur la période 2004-2008, ravissant la place de numéro deux au Japon. Les Etats-Unis restent en tête, mais voient leur part des articles publiés diminuer de 26,4 % à 21,2 % entre les deux périodes. Le Japon passe du deuxième (7,8 %) au 4e rang (6,1 %), tandis que le Royaume-Uni reste à la troisième place (6,5 % contre 7,1 %). L'Allemagne, au 5e rang, publie 6 % des articles contre 7 % auparavant, et la France, au 6e rang, 4,4 % contre 5 %.

    "Le monde de la science change et de nouveaux acteurs apparaissent", constate Chris Llewellyn Smith, qui a dirigé l'étude de la Royal Society, dans le communiqué. "Au-delà de l'émergence de la Chine, nous voyons la montée de l'Asie du Sud-Est, du Moyen-Orient, de l'Afrique du Nord et d'autres pays (...), aucune nation historiquement dominante ne peut se reposer sur ses lauriers si elle veut préserver l'avantage en terme de compétitivité que procure le rôle de chef de file scientifique", estime-t-il.

    Outre l'ascension "météorique" de la Chine et dans une moindre mesure du Brésil et de l'Inde, le rapport identifie plusieurs pays en pointe, comme la Turquie (quatre fois plus d'articles scientifiques avec un auteur turc publiés en 2008 qu'en 1996) ou l'Iran, qui va porter d'ici à 2030 la part de la recherche à 4 % du PIB contre 0,59 % en 2006. En Tunisie, la recherche est passée de 0,03 % du PIB en 1996 à 1,25 % en 2009. Singapour a doublé ses dépenses en recherche à 2,61 % du PIB entre 1996 et 2007, tout en triplant le nombre des articles publiés.

    La coopération entre équipes de pays différents est l'autre trait dominant de l'étude. 35 % des articles sont désormais issus de coopérations internationales, contre 25 % il y a quinze ans.

    La Royal Society a mené son étude avec le groupe Elsevier, qui publie 2 000 revues scientifiques, dont The Lancet et Cell.

    Source : le monde.fr
    Lien : http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/03/29/la-chine-le-bresil-et-l-inde-nouvelles-puissances-scientifiques_1499974_3224.html


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    SRAEL
    tte bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le mnde entirour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin." [Matthieu4:14.] Mais quel est et évangile dont JésChrist parle ?



    29/03/2011 : Israël : un «Dôme de fer» contre les tirs de roquettes


    Ce système de défense, censé rassurer les populations civiles vivant près de Gaza et soumises à une menace permanente, offrirait une efficacité limitée.

    Israël doit étrenner dimanche une nouvelle arme antiroquette le long de la frontière avec Gaza. Ce système de défense, surnommé «Dôme de fer», est censé repérer, puis détruire en vol à l'aide de projectiles, les roquettes et obus de mortiers semblables à ceux qui sont tirés depuis dix jours vers les villes israéliennes. L'objectif est de rassurer la population civile soumise à une menace permanente. Reste à savoir si cet équipement sera à la hauteur en situation de conflit réel, et non plus seulement lors de tests.

    Prudents, les militaires soulignent qu'il ne s'agit en aucun cas d'une «arme absolue» offrant une sécurité totale aux centaines de milliers d'habitants du sud d'Israël. L'armée ne dispose en effet que de deux batteries. Chacune d'entre elles couvre un territoire de 100 km  seulement. Résultat : Benyamin Nétanyahou, le premier ministre, va se retrouver devant un dilemme. Toutes les villes touchées ou menacées ces derniers jours par des dizaines de roquettes comme Beersheba, Ashdod, Ashkelon ou Sderot ne pourront pas être protégées simultanément. Il va falloir en choisir deux parmi elles et laisser les autres sans défense au risque de provoquer la colère des habitants.

    Des hésitations au sein de l'état-major

    De plus, les responsables de l'armée n'ont accepté de déployer ces batteries qu'à contrecœur. Une partie de l'état-major estime en effet que cette arme ne doit pas servir à protéger la population civile, mais uniquement les bases aériennes et autres installations «stratégiques». Les militaires ont donc tendance à traîner les pieds avant de sortir «Dôme de fer» des hangars. Cette attitude a provoqué une vive polémique initiée par Yossi Melman, spécialiste des questions de défense et de renseignement du quotidien Haaretz. Selon lui, l'état-major craint que le système connaisse des ratés. «Les militaires redoutent que dans ce cas les projets de ventes du système à l'étranger, notamment à Singapour, au Brésil ou en Inde soient mis en question», ajoute ce commentateur.

    Le coût financier constitue un autre handicap. Selon un rapport de la commission de la défense et des affaires étrangères, Israël aurait besoin de 13 «Dômes de fer» pour contrer efficacement les menaces du Hamas, au Sud, et du Hezbollah libanais à la frontière Nord. Or le ministère de la Défense n'a toujours pas débloqué les crédits suffisants pour de telles acquisitions et le versement d'une aide promise par les Etats-Unis pour acquérir une ou deux batteries a pris du retard.

    Des «raisons stratégiques»

    Sur le plan technique aussi, les inconnues ne manquent pas. Sur le papier, «Dôme de fer» peut intercepter des roquettes à une distance de 4 à 70 km. Or plusieurs localités et kibboutz pris pour cibles par des groupes palestiniens sont situés à moins de 4 km de la clôture de sécurité séparant la bande de Gaza du territoire israélien.

    Bref, comme le souligne le général de réserve Tzvika Fogel, «les habitants doivent éviter de se laisser aller à des attentes exagérées». Matan Vilnaï, ministre chargé de la protection de l'arrière, invoque pour sa part des «raisons stratégiques» pour justifier le fait que «Dôme de fer» n'ait pas encore été utilisé tout en refusant d'expliquer ce retard sous prétexte que «l'ennemi nous écoute».

    Source :le figaro.fr

    Lien : http://www.lefigaro.fr/international/2011/03/25/01003-20110325ARTFIG00624-israel-un-dome-de-fer-contre-les-tirs-de-roquettes.php


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    ISRAEL


    "Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin." [Matthieu 24:14.] Mais quel est cet évangile dont Jésus-Christ parle ?



    22/02/2011 : Israël : ambigu soutien américain à l'ONU


    Le 51e veto de Washington à une résolution condamnant Israël n'a été consenti qu'à contrecœur par Obama .

    À Jérusalem

    «C'est un succès qui risque de nous coûter très cher»: commentateurs et diplomates tiraient dimanche un bilan plutôt amer du veto imposé par les États-Unis ce week-end au Conseil de sécurité de l'ONU. Comme le souhaitait le gouvernement de Benyamin Nétanyahou, les Américains ont refusé de condamner la poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie et dans la partie arabe de Jérusalem, où s'est installé un demi-million d'Israéliens. Après cette «victoire», personne n'a cru bon de pavoiser dimanche à Jérusalem. Au contraire, l'heure était plutôt aux interrogations sur le prix politique à payer, tant Barack Obama a fait comprendre combien il avait agi à contrecœur dans cette affaire.

    «C'était le 51e veto imposé par les États-Unis à une résolution anti-israélienne à l'ONU, mais cela pourrait être le dernier, car les Américains sont fatigués de nous défendre à propos d'une politique de colonisation qu'ils condamnent», prévoit Alon Pinkas, ancien consul général d'Israël à New York. Une analyse également entendue sur la radio militaire. «À cause de nous, les Américains se sont retrouvés totalement isolés, les 14 membres du Conseil de sécurité votant contre eux, une situation qu'ils détestent par-dessus tout», a ajouté la commentatrice en relevant les «critiques très dures» lancées par Susan Rice, la représentante américaine à l'ONU, dans son discours contre la colonisation. Autrement dit, les Américains ont voté contre un texte avec lequel ils étaient fondamentalement d'accord.

    Enfoncer le coin

    Dany Gillerman, ancien ambassadeur d'Israël aux Nations unies, a plaidé une demi-culpabilité en soulignant que le refus des Palestiniens du moindre compromis était à l'origine de ce veto américain. Il reconnaît toutefois qu'Israël est «désormais en comptes avec Washington». Dore Gold, lui aussi ex-représentant de l'État hébreu à l'ONU et proche de Benyamin Nétanyahou, admet que la colonisation constitue un «dossier très difficile à plaider», et ce d'autant plus que le premier ministre et le président américain sont en froid. L'an dernier, Benyamin Nétanyahou avait refusé d'imposer un gel de six mois à la construction de logements dans les colonies de Cisjordanie. Barack Obama avait pourtant mis tout son poids dans la balance pour obtenir ce «geste de bonne volonté», censé permettre une reprise des négociations avec les Palestiniens, gelées depuis des mois. Autre signe du malaise: le président américain n'a pas éprouvé le besoin de consulter Nétanyahou ni avant ni après la chute de Hosni Moubarak, alors que le traité de paix entre Israël et l'Égypte est considéré, tant à Washington qu'en Israël, comme un test essentiel pour juger du nouveau pouvoir en place au Caire.

    Les Palestiniens sont bien décidés à enfoncer le coin en poursuivant leur campagne anticolonisation devant l'Assemblée générale des Nations unies, avec à la clé l'espoir de sanctions contre Israël - sans que les Américains puissent cette fois imposer leur veto. Ce programme s'intègre au projet de Salam Fayyad, le premier ministre palestinien, qui veut jeter les bases d'un État indépendant, dont l'existence pourrait être reconnue par presque toute la communauté internationale, en septembre.

    Source : le figaro.fr
    Lien : http://www.lefigaro.fr/international/2011/02/20/01003-20110220ARTFIG00191-israel-ambigue-soutien-americain-a-l-onu.php


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    Prenez aussi le casque du salut,… Ephésiens 6:17  

    Depuis des générations, pendant la guerre dans certaines civilisations, les soldats ou les guerriers ont toujours porté des casques sur leur tête pour combattre. Ces casques ont pris au fur de temps différentes formes et couleurs, et ont surtout beaucoup évolué,  passant du métal pur et lourd à d’autres types d’alliages plus solides et légers. Ils ont tous pour usage principal de protéger la tête du soldat contre tout coup violent ou toute chute brutale. Ils ne protègent aucune autre partie du corps du soldat si ce n’est seulement sa tête. Mais, ce choix n’est pas un hasard, car la tête est une partie trop sensible et très vulnérable du corps humain. Quand elle est atteinte, la mort peut s’en suivre, d’où l’importance de la protéger pendant un combat physique.

    Nous en tant qu’enfants de Dieu, nous sommes depuis notre conversion à Jésus Christ engagés dans une guerre sans merci avec l’ennemi et toute son armée. Une guerre qui n’a rien de physique, qui est entièrement spirituelle. Comme les soldats ou les guerriers dans une guerre physique, nous revêtons aussi une armure, mais une armure spirituelle qui nous protège spirituellement et qui nous permet de combattre efficacement. Parmi les composants de cette armure spirituelle, nous avons un élément très important qui est : LE CASQUE. Mais, pas n’importe quel casque ; c’est LE CASQUE DU SALUT.

    Un soldat qui a la tête détruite ou touchée gravement ne peut continuer le combat, il peut même mourir et le combat prendra fin pour lui.  De même, qu’un soldat de l’armée de Christ qui a sa tête touchée, c’est-à-dire son salut atteint, il ne peut continuer le combat, car la mort spirituelle s’en suit et il est disqualifié. D’où pour nous soldats de Dieu, de veiller sur le casque que nous portons sur nos têtes qui représente notre Salut. Ce casque peut être atteint ou ébranlé, mais tant qu’il n’est pas détruit, nous devons continuer le combat jusqu’à la fin et surtout ne jamais baisser les bras. J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. 2 Tite 4:7   

    Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d’être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres. 1 Corinthiens 9:27  

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    COMMENT VEILLER SUR NOTRE CASQUE ?

    Maintenant, que la crainte de l'Eternel soit sur vous; veillez sur vos actes, car il n'y a chez l'Eternel, notre Dieu, ni iniquité, ni égards pour l'apparence des personnes, ni acceptation de présents. 2 Chroniques 19:7  

    Veiller sur notre casque, c’est veiller sur notre salut. Comprenons bien que le salut n’est pas une imposition de Dieu  à ceux qu’IL aurait choisit; il est proposé à quiconque qui l’accepte. Jésus Christ a joué et continue à jouer un rôle très important pour notre Salut, mais Il ne joue pas la totalité du rôle qu’il faut pour maintenir notre salut intact ; car chacun de nous à une partition à jouer pour son salut. Nous sommes certes sauvés par la grâce, mais nous maintenons notre salut par notre obéissance à Dieu et notre persévérance dans la FOI.
    L’ennemi visera toujours et en tout temps le casque de chacune des personnes marchant avec Christ. C’est sa cible principale ; car il veut que tous perdent le salut et que tous meurent. Veiller sur son casque, c’est persévérer dans la foi, dans la sanctification, dans l’amour du prochain, dans l’obéissance à Christ, dans l’œuvre pour Dieu, dans la prière, dans l’adoration et la louange. C’est en gros : Vivre  entièrement pour Christ. 

    De nos jours, l’ennemi est arrivé à détruire un grand nombre de casques, même les casques qui étaient dès le départ très solides et inébranlables. Nous le voyons par le grand nombre de chrétiens qui ont rebroussé chemin et qui vivent dans la fausseté loin de Dieu, même s’ils continuent d'aller et de servir à l’église. 

    Ne vous  y trompez pas, le Royaume de Dieu est vrai,  la venue de Christ est proche, et la géhenne de feu est prête pour quiconque n’aura pas son casque sur lui le jour du jugement. 

    Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles. Hébreux 10:27

    Auteur : Donald SORO | Parler à un Conseiller NYCO


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