•  
    2988745083_1_7_ykHxJdaD.png
    560882_385031331558525_702723740_n
     

    El Nino au Japon, risque d'une nouvelle crise alimentaire

    L'agence météorologique japonaise a annoncé vendredi l'arrivée d'El Nino, phénomène climatique souvent lié à de fortes précipitations et à des épisodes de sécheresse, ajoutant aux craintes d'une nouvelle crise alimentaire comparable à celle de 2007-2008.
    Les prix du maïs se sont envolés de plus de 60% ces deux derniers mois alors que les Etats-Unis sont en proie à l'une des pires sécheresses de ces cinquante dernières années. L'offre de soja s'est également réduite sous l'effet d'une sécheresse qui a frappé la production sud-américaine.
    "Le risque que le phénomène El Nino se maintienne jusqu'à l'hiver est élevé", a précisé l'agence nipponne.
    El Nino, qui se caractérise par un réchauffement des températures à la surface de l'océan Pacifique, se produit en général tous les quatre à douze ans et a des répercussions sur l'ensemble de la planète. Il peut provoquer une sécheresse susceptible d'affecter les cultures en Australie, en Afrique, en Asie du Sud-Est ou en Inde.
    Face au retour d'El Nino et à des épisodes de grave sécheresse dans certains pays, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a averti jeudi que les restrictions à l'exportation, les barrières douanières et les politiques d'achats massifs pourraient mener à une crise alimentaire comparable à celle de 2008.
    MARCHÉS NERVEUX
    L'indice FAO des prix alimentaires, qui mesure la variation des cours internationaux d'un panier de denrées regroupant céréales, viandes, produits laitiers, huiles et sucre, a atteint 213 points en juillet contre 201 en juin, soit une hausse de 6%.
    Jusqu'à présent, la plupart des gouvernements se sont abstenus d'agir sur les marchés. Le vice-Premier ministre russe a jugé cette semaine qu'il n'y avait pas matière à limiter les exportations de blé, comme le gouvernement l'avait fait en 2010. Il n'a cependant pas exclu la mise en place de barrières douanières à la fin de l'année.
    Des signes de nervosité apparaissent néanmoins sur les marchés, avec des achats massifs prématurés. Les exportations de blé en provenance des États-Unis ont bondi la semaine dernière pour atteindre leur deuxième plus haut niveau en dix mois, du fait notamment d'achats du Mexique, deuxième importateur mondial.
    Après avoir affiché une production de céréales en baisse de 12% le mois dernier, le département américain de l'Agriculture devrait annoncer une baisse de 15% dans le rapport mensuel attendu ce vendredi.
    La dernière fois qu'El Nino a causé des dégâts importants remonte à 1998. A l'époque, il avait fait plus de 2.000 morts et ravagé les cultures, les infrastructures et les mines australiennes ainsi que d'autres parties d'Asie. Ces dégâts s'étaient chiffrés en milliards de dollars.
    El Nino peut aussi provoquer des hivers plus chauds ou plus humides au Japon et dans certaines zones d'Amérique du Nord. L'autre inquiétude concerne son impact sur l'Inde, où les précipitations de la mousson ont été inférieures à la moyenne, menaçant la production de céréales et de légumineuses.
    El Nino avait freiné le développement de la mousson il y a trois ans, provoquant un rebond des prix du sucre à un niveau jamais atteint en trente ans.
    http://fr.news.yahoo.com/el-nino-au-japon-risque-dune-nouvelle-crise-120100229.html

    004

    votre commentaire
  • 2975233651_1_3_Bs3PWOdG
    sentinelleline2.gif
     
     

     

     

    Une possible attaque militaire de l'État hébreu sur les infrastructures nucléaires de l'Iran fait la une de la presse israélienne.

    Une possible attaque militaire de l'État hébreu sur les infrastructures nucléaires de l'Iran faisait de nouveau les gros titres de la presse israélienne vendredi, au lendemain de déclarations du ministre de la Défense Ehud Barak qualifiant cette éventualité d'"urgente". Le quotidien à gros tirage Yediot Aharonot titrait "Netanyahu et Barak déterminés à attaquer l'Iran à l'automne". Selon Nahum Barnea et Shimon Shiffer, deux plumes historiques du journal, si le Premier ministre Benyamin Netanyahou et M. Barak pouvaient décider seuls, ils lanceraient une attaque "au début de l'automne, même avant les élections américaines" prévues en novembre. "Le fait que ces deux personnalités (...) sont déterminées à prendre cette décision est très important", écrivent-ils.

    "Il n'en reste pas moins qu'aucun responsable - ni de l'armée, ni dans les milieux de la défense, pas même le président - ne soutient l'idée d'une attaque israélienne", soulignent-ils toutefois. Le quotidien Haaretz ouvre, quant à lui, son édition du week-end par les mises en garde d'un responsable qui estime, sous le couvert de l'anonymat, qu'Israël est encore plus en danger qu'à la veille de la guerre de 1967. "Le couteau sous notre gorge est maintenant plus affûté qu'avant la guerre des Six Jours", affirme-t-il. Le Maariv fait sa une sur un sondage révélant que 37 % des Israéliens pensent qu'un Iran nucléaire pourrait conduire à un "deuxième Holocauste".

    M. Netanyahou a prévenu que des armes de destruction massive aux mains des "ayatollahs iraniens" pourrait mener à "un autre génocide", tandis que le président Shimon Peres a estimé que son homologue iranien Mahmud Ahmadinejad "menaçait d'une nouvelle Shoah", le mot hébreu signifiant holocauste. Israël, seule puissance nucléaire - officieuse - de la région, estime que son existence serait menacée si Téhéran disposait de la bombe atomique. L'Iran nie que son programme nucléaire ait des visées militaires, comme l'en accusent également les Occidentaux. Les États-Unis, à l'approche de la présidentielle, privilégient le renforcement des sanctions contre Téhéran et de récentes visites de responsables américains dans l'État hébreu laissent penser que Washington tente de dissuader Israël de lancer une attaque.

     

    http://www.lepoint.fr/monde/israel-serait-sur-le-point-de-frapper-l-iran-10-08-2012-1494759_24.php

    2975233651_1_3_Bs3PWOdG

    votre commentaire
  •  
     
    2975233651_1_3_Bs3PWOdG
    Depuis plusieurs semaines, les deux pays se livrent à des démonstrations intransigeantes. (Kenji Shimizu/AP/SIPA)

     

    Japon-Chine : risque d'affrontements "comme jamais"

     
    Depuis plusieurs semaines, les deux pays se livrent à des démonstrations intransigeantes. (Kenji Shimizu/AP/SIPA)

    La tension actuelle entre la Chine et le Japon autour d'îles contestées en mer de Chine orientale accroît "comme jamais" le risque d'affrontements entre navires des deux pays, estime le groupe de réflexion International Crisis Group (ICG).

    Démonstration de force

    "Des patrouilles chinoises plus fréquentes avec des garde-côtes japonais qui continuent eux aussi de patrouiller autour des îles augmentent comme jamais le risque d'affrontements maritimes", estime l'ICG dans son dernier rapport intitulé "Eaux dangereuses".

    Trois navires gouvernementaux chinois ont d'ailleurs pénétré lundi dans une zone considérée par le Japon comme ses eaux territoriales, selon les garde-côtes nippons.

    Depuis plusieurs semaines, les deux pays se livrent à des démonstrations intransigeantes, en organisant ou encourageant des "expéditions" navales autour de l'archipel des Senkaku (Diaoyu pour la Chine), situé à environ 200 km au nord-est des côtes de Taïwan, qui d'ailleurs le revendique également, et à 400 km à l'ouest de l'île d'Okinawa (sud du Japon).

    C'est l'achat de ces îles début septembre par le gouvernement japonais à leur propriétaire privé nippon qui avait mis le feu aux poudres, donnant le coup d'envoi d'une semaine de manifestations antijaponaises, parfois violentes à travers la Chine.

    Immédiatement Pékin avait décidé d'envoyer une flottille de navires officiels pour marquer "son" territoire, et assurer que la Chine ne cèderait "jamais un centimètre carré", selon l'expression du Premier ministre
    Wen Jiabao.

    Son homologue japonais
    Yoshihiko Noda
    avait pour sa part affirmé fin juillet que Tokyo pourrait envoyer les forces d'autodéfense (l'armée japonaise) pour défendre l'archipel.

    L'ICG rappelle que dans le passé, les deux pays ont jusque-là réussi à faire retomber la fièvre autour de cet archipel, notamment en 2010 lors de l'arrestation pendant deux semaines du capitaine d'un chalutier chinois "trop zélé" qui avait heurté des garde-côtes japonais.

    "Mais aujourd'hui, une escarmouche entre des bateaux officiels (chinois et japonais), dans le contexte actuel pourrait bien ne pas trouver une telle issue", estime ICG.

     
    Inquiétude croissante à l'étranger

    La vague de protestations antijaponaise en Chine qui a suivi l'achat par Tokyo de trois des îles contestées "masque" par ailleurs selon l'ICG "un développement potentiellement encore plus dangereux qui pourrait entraîner les deux pays dans un conflit plus vaste: l'adoption par la Chine d'un cadre légal qui lui permet d'expulser des navires étrangers dans les eaux disputées de la mer de Chine orientale".

    Dernièrement, rappelle l'ICG, "le ministère des Affaires étrangères chinois a annoncé sa position pour formellement délimiter ses eaux territoriales dans cette zone, ce qui met les îles Senkaku sous administration chinoise".

    "Un défi direct au Japon qui contrôle ces îles", commente l'ICG, pour qui cette position signifie l'abandon par Pékin de sa politique précédente qui consistait jusque-là à "rechercher par la négociation une exploitation commune avec le Japon des ressources de cette zone maritime".

    Cette volonté de Pékin de formaliser sa revendication sur des territoires contestés oblige la Chine de par ses propres lois - mais aussi pour satisfaire son opinion publique - à affirmer sa juridiction sur les eaux qui entourent les îles Diaoyu, analyse le document.

    L'ICG estime par ailleurs que la grande fermeté de la Chine dans cette affaire n'est pas sans rapport avec la préparation du changement décennal à la tête du pays, dans un contexte difficile: "avec un mécontentement grandissant sur le fossé qui se creuse entre riches et pauvres, une corruption largement répandue, une inflation et les prix de l'immobilier en hausse, le tout conjugué à des rumeurs de désunion à la tête du pays: Pékin sent qu'il ne peut pas être vu comme trahissant les intérêts nationaux face à son ennemi historique".

    A l'étranger, ce face à face sino-japonais suscite une inquiétude croissante: le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta a estimé que les conflits territoriaux actuels en Asie, pourraient déclencher une
    guerre si les gouvernements concernés continuent "leurs provocations".

    Le secrétaire général de l'ONU
    Ban Ki-moon s'est lui aussi déclaré "de plus en plus inquiet de ces "tensions croissantes".

    Source:
    http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120924.OBS3305/japon-chine-risque-d-affrontements-comme-jamais.html
    1208e3b5-m

    votre commentaire
  •  
     
     
    7
     
     

    Jésus est le premier dans ma vie

     

     
    Bonjour à tous ! Je suis ravie de pouvoir faire ce témoignage au Nom de Jésus et pour sa Gloire. Mon prénom est Domohina et cela signifie Colombe. Je viens de Madagascar. Je suis issue d'une famille protestante. Il s'agit d'une famille recomposée dont je suis la benjamine. J'ai deux grandes sœurs et quatre grands frères. Avant, j'ai été une adolescente complexée physiquement. J'étais mal dans ma peau. Je me sentais minuscule et invisible devant les autres filles de mon entourage. J'ai surtout été sensible aux remarques que peuvent faire les gens sur moi. Alors pour me protéger, je me suis renfermée sur moi-même. Je me suis investie dans mes études, un domaine où je me suis sentie importante, c'était un peu ma sécurité.

     

    Au fil du temps, après beaucoup d'effort, je me suis réconciliée petit à petit avec mon corps. Tout se déroulait normalement jusqu'à ce que je me fiance à quelqu'un à la fin de l'année 2007. On n'a pas vraiment eu beaucoup le temps de mieux nous connaître. Juste après nos fiançailles, j'ai découvert un homme hautain, d'une jalousie maladive, très malhonnête, agressif verbalement. Un mois plus tard, on avait rompu nos fiançailles. En plus, il nous avait maudit ma mère et moi. J'ai gardé au fond de moi une très profonde blessure, non pas parce que je l'aimais encore, non pas du tout !!! J'ai même été soulagée de m'être séparée de lui, mais j'avais surtout honte de l'image que je donnais car j'étais quand même une fille sérieuse et sans histoire. Oui, cette expérience était pour moi un échec et elle a laissé une image très négative de moi-même. Surtout que les paroles de malédictions qu'il avait prononcées étaient restées ancrées dans ma tête.

    En 2010, j'ai eu une bourse de thèse qui m'a permis de venir à Montpellier où j'ai rencontré la famille d'un de mes cousins. Je suis reconnaissante à Dieu de vous avoir mis sur mon chemin. En fréquentant cette famille, j'ai appris ce que c'est que de pardonner à quelqu'un. Parce que Jésus m'a pardonnée moi, je dois à mon tour pardonner aussi. Je me suis débarrassée de toute l'amertume, de la haine, de la honte qu'il y avait en moi. Toutes les mauvaises paroles que mon ex-fiancé avait dites contre moi, n'avaient plus de pouvoir en moi. Je me suis sentie libérée de toutes ces paroles de malédiction. Mais le plus important, j'ai appris que Jésus m'aime malgré que je me sente indigne de son Amour. Et j'ai accepté Jésus dans mon cœur le mercredi 16 avril 2010. Je me suis fortifiée dans ma foi en Jésus. Entre temps, j'ai eu un nouveau fiancé que j'ai aimé par-dessus tout, au point où j'ai même parfois oublié Jésus. On avait programmé de nous marier à la fin de l'année dernière, c'est-à-dire à la fin de 2011. Mais avant que je ne rentre à Madagascar, il m'a annoncé qu'il souhaitait rompre pour épouser une autre femme. Tout s'écroulait autour de moi : je me suis sentie rejetée, abandonnée et encore une fois humiliée. Les complexes d'infériorité revenaient en surface. Je déprimais beaucoup.

    Quand je suis revenue à Montpellier en Mars, je me suis de nouveau tournée vers Jésus et je me suis sentie de nouveau pardonnée et guérie. Alors, après avoir enchaîné rupture après rupture, j'ai compris que la première place dans mon cœur doit revenir à Jésus. Lui, Il m'aime vraiment telle que je suis, moi, avec mes histoires, moi, qui ne suis rien qu'une pécheresse !!! IL a toujours été là pour moi. Je peux toujours compter sur lui et lui faire confiance. Je peux aussi dire que maintenant, je m'accepte comme je suis. Je ne pouvais pas être ingrate parce que le simple fait que je suis en bonne santé, c'est déjà une bénédiction. Il me relève à chaque fois que je suis tombée en me faisant rebondir avec courage. J'ai lu récemment un article qui m'a beaucoup convaincue sur le Top chrétien : Mieux vaut être célibataire dans la volonté de Dieu qu'être en couple en dehors de sa volonté. Je suis vraiment en paix et je me sens comblée car savoir que je ne suis pas seule mais que Dieu est avec moi, et sera avec moi partout où je vais, est très rassurant. Je témoigne pour dire que j'aime Jésus et qu'IL est la priorité de ma vie. Je me suis faite baptiser pour concrétiser mon amour et mon engagement envers Jésus car IL est mon SAUVEUR et mon SEIGNEUR. Le premier dans ma vie. Amen

    7

    votre commentaire
  • bouquet-fleur-d-07110
     

    L'amour de mon Père céleste a guéri

    mon cœur et m'a libérée de la drogue !

     

    J'ai 16 ans. Il y a trois ans j'étais dans la drogue ou sinon je buvais car mon père me laissait boire. Mon père m'a toujours achetée avec son argent et ne m'a jamais vraiment montré l'amour qu'il me portait. Alors je me réfugiaits dans la drogue pour paraître cool devant mes amies et pour oublier ce qui m'arrivait. Mes amies me disaient que cela serait bien de vendre de la drogue, alors j'ai volé un énorme montant d'argent à mon père. Il ne l'a jamais remarqué . J'ai entraîné des filles à prendre de la drogue et à voler à leurs parents de l'argent pour que je leur en vende. Je me servais de tout le monde pour ne pas être seule a l'école.

    J'étais très distante de ma mère, même si j'habitais chez elle. Je changeais. Un jour, j'ai trouvé que j'allais trop loin. Alors j'ai carrément arrêter de prendre de la drogue. Voilà deux ans que je n'ai pas touché à l'ecstasy. Pendant un an, je m'en suis voulu d'avoir gâché ma vie là-dedans. Alors je buvais de l'alcool pour oublier. Mes amies me manipulaient et je ne parlais plus à mon père car je n'aimais pas sa conjointe. Mon père m'a toujours critiquée, me trouvant trop grosse et pas assez intelligente. Toute ma vie j'ai été complexée. Ma mère sortait avec ses amies et dès que j'étais seule, je pleurais et je demandais que l'on m'aide. Pourtant je ne croyais pas en Dieu, je le détestais même.

    Et un jour j'ai rencontré une fille qui croyait en Jésus. Elle voulait lancer une troupe de danse. Alors elle m'invita à y participer. Puisque l'on était en avance, je lui ai demandé qu'est ce que c'est d'avoir une RELATION avec Jésus. Elle m'expliqua son histoire et comment Dieu avait changé sa vie. Et à l'intérieur de moi, je voulais que cela change, oublier mon passé et vivre pour Christ. Alors je lui ai demandé si moi aussi je pouvais vivre ça. Je me suis repentie.

    Cela fait un an que j'ai une relation avec Jésus et chaque jour est merveilleux. J'ai pardonné à mon père et maintenant je lui reparle. Malgré ce qui peut encore me bouleverser, je sais que mon père céleste m'aime réellement. Je ne bois plus et je ne me drogue plus. Je suis seulement Jésus et ma vie est formidable. Je n'ai jamais été autant heureuse de toute ma vie.


    votre commentaire